''(…) en terme de prévision, étant conscient qu’il y avait un défit pluviométrique, nous avions pris le choix de distribuer davantage de semence de riz (…) qui est une variété précoce, pour éviter de donner des semences à cycle long et qui n’arrivent pas à boucler leur cycle. On en a donné (des variétés de cycle court) en quantité, c’était pour prévenir ce déficit pluviométrique’’ a t-il dit.
Waly Diouf s’exprimait à l’ouverture d’un atelier de travail pour l’initiative pilote sur les semences de riz organisé conjointement avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA). Cette rencontre entre dans le cadre des activités de coalition pour le développement de la riziculture en Afrique (CARD).
Il est notamment revenu sur le déficit de semence auquel le Sénégal fait encore face en terme ‘’quantitatif et qualitatif’’, rappelant que le ministère l’Agriculture et de l’Equipement rural ‘’avait comme ambition de mettre à la disposition de la riziculture pluviale 9600 tonnes de riz certifiées’’.
Mais, a-t-il ajouté, ‘’quand il a fallu notifier cela, on était dans l’impossibilité de trouver autant de quantité de riz dans le Sénégal’’. ‘’(…) On s’est contenté de notifier autour de 5000 tonnes et même cette semence certifiée n’a pas été trouvé c’est la raison pour laquelle il ya un déficit quantitatif et qualitatif’’ a-t-il précisé.
Pour gérer cette situation selon Waly Diouf, il s’agira de ‘’partir des besoins exprimés’’ par les producteurs. ‘’Nous sommes en train de faire de la multiplication de semence pour pouvoir répondre adéquatement à la demande des producteurs’’, a-t-il assuré.
L’objectif est ‘de satisfaire totalement’’ les demandes de semences issues des producteurs, demande qui vient, selon lui ‘’légitimer les ambitions d’emblavure qui vise l’autosuffisance en riz’’.
‘’Nous avons fait ce que nous avions à faire, nous avons donné suffisamment de semence, on n’a pas pu atteindre les 9600 tonnes, mais on a donné plus de 5000 tonnes de semence de l’engrais du matériel agricole, mais la pluie n’est pas du ressort ni du ministre ni du président de la République’’, a soutenu M. Diouf.
APS
Waly Diouf s’exprimait à l’ouverture d’un atelier de travail pour l’initiative pilote sur les semences de riz organisé conjointement avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA). Cette rencontre entre dans le cadre des activités de coalition pour le développement de la riziculture en Afrique (CARD).
Il est notamment revenu sur le déficit de semence auquel le Sénégal fait encore face en terme ‘’quantitatif et qualitatif’’, rappelant que le ministère l’Agriculture et de l’Equipement rural ‘’avait comme ambition de mettre à la disposition de la riziculture pluviale 9600 tonnes de riz certifiées’’.
Mais, a-t-il ajouté, ‘’quand il a fallu notifier cela, on était dans l’impossibilité de trouver autant de quantité de riz dans le Sénégal’’. ‘’(…) On s’est contenté de notifier autour de 5000 tonnes et même cette semence certifiée n’a pas été trouvé c’est la raison pour laquelle il ya un déficit quantitatif et qualitatif’’ a-t-il précisé.
Pour gérer cette situation selon Waly Diouf, il s’agira de ‘’partir des besoins exprimés’’ par les producteurs. ‘’Nous sommes en train de faire de la multiplication de semence pour pouvoir répondre adéquatement à la demande des producteurs’’, a-t-il assuré.
L’objectif est ‘de satisfaire totalement’’ les demandes de semences issues des producteurs, demande qui vient, selon lui ‘’légitimer les ambitions d’emblavure qui vise l’autosuffisance en riz’’.
‘’Nous avons fait ce que nous avions à faire, nous avons donné suffisamment de semence, on n’a pas pu atteindre les 9600 tonnes, mais on a donné plus de 5000 tonnes de semence de l’engrais du matériel agricole, mais la pluie n’est pas du ressort ni du ministre ni du président de la République’’, a soutenu M. Diouf.
APS