De même, de 97 F/kWh en 2012, le coût de production de l’électricité est tombé à 44 F/kWh en 2016. Et de 900 heures de coupures en 2011, nous sommes maintenant en dessous de 80 heures. Pour vaincre le signe indien, les nouvelles autorités ont misé dans le tout solaire. C’est ainsi qu’on a vu l’inauguration à grande échelle de centrale solaire pour booster la capacité de production de la SENELEC, mais aussi faire bonne figure dans une ambiance de COP22.
Parmi les centrales solaires qui ont retenu l’attraction en 2016, on peut citer celle de Malicounda, qui pourra satisfaire la consommation de 9000 concessions environ. Au moment de couper le ruban, le chef de l’Etat a annoncé la couleur et son vœu de faire de solaire une option du mix énergétique, qui jouera, assurément, un rôle de premier plan dans le renforcement de nos capacités de production d’énergie; d’autant plus que ses coûts de production deviennent de plus en plus compétitifs.
D’un coût de 22 milliards de FCFA, cette centrale est le fruit d’un partenariat public privé dans lequel la commune de Malicounda détient 5% des parts de la société d’exploitation. C’est là une excellente initiative.
Autre centrale qui a retenu l’attraction, c’est celle de Bokhol. D’une puissance de 20 MW, elle figure parmi la première génération de cette envergure dans la sous-région. Elle est le fruit d’un partenariat public-privé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et des investisseurs privés nationaux et étrangers; l’actionnariat local détenant 45% des parts.
En tout cas, le Sénégal ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Puisque le chef de l’Etat, Macky Sall annonce que dès 2017, le gouvernement mettra en service cinq nouvelles centrales solaires qui porteront le taux des énergies renouvelables à 21%.
Pathé TOURE
Parmi les centrales solaires qui ont retenu l’attraction en 2016, on peut citer celle de Malicounda, qui pourra satisfaire la consommation de 9000 concessions environ. Au moment de couper le ruban, le chef de l’Etat a annoncé la couleur et son vœu de faire de solaire une option du mix énergétique, qui jouera, assurément, un rôle de premier plan dans le renforcement de nos capacités de production d’énergie; d’autant plus que ses coûts de production deviennent de plus en plus compétitifs.
D’un coût de 22 milliards de FCFA, cette centrale est le fruit d’un partenariat public privé dans lequel la commune de Malicounda détient 5% des parts de la société d’exploitation. C’est là une excellente initiative.
Autre centrale qui a retenu l’attraction, c’est celle de Bokhol. D’une puissance de 20 MW, elle figure parmi la première génération de cette envergure dans la sous-région. Elle est le fruit d’un partenariat public-privé entre la Caisse des Dépôts et Consignations et des investisseurs privés nationaux et étrangers; l’actionnariat local détenant 45% des parts.
En tout cas, le Sénégal ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Puisque le chef de l’Etat, Macky Sall annonce que dès 2017, le gouvernement mettra en service cinq nouvelles centrales solaires qui porteront le taux des énergies renouvelables à 21%.
Pathé TOURE