‘’ Ebola est une crise qui, non seulement enterre des vies humaines, mais qui affecte aussi nos système de santé et nos économies. Déjà, au début de cette épidémie, nous avons octroyé des dons d'urgence de 4 millions de dollars aux pays concernés’’ a fait savoir M.Kaberuka.
Selon lui, ‘’Aujourd'hui, l'urgence est de renforcer les systèmes de santé, recruter du personnel, équiper les centres qui accueillent les malades de laboratoires, de matériels divers, et de matériel de télédétection pour les frontières. Il s'agit aussi de détruire les objets contaminés. Toutes choses que les centres devraient avoir pour faire face à ce type d'épidémie’’.
‘’Le rôle de l'OMS, en termes de coordination des multiples agences impliquées dans cette lutte, sera capital’’ a-t-il ajouté.
‘’La crise d'Ebola est très préoccupante, à plusieurs titres : D’abord, malgré des efforts combinés, la crise semble progresser et en train de devenir la crise la plus grave qu'on ait connue depuis longtemps. La crise Ebola emporte, en premier lieu, nos vaillants hommes et femmes des personnels de nos services de santé’’, a expliqué le président de la BAD.
La crise menace, non seulement les vies humaines, mais aussi les systèmes de santé, mettant en péril la capacité à traiter d'autres maladies.
On nous apprend aujourd'hui que dans les pays affectés, les personnes présentant des pathologies "normales", paludisme, etc., voire les femmes enceintes, ne savent plus à quel Saint se vouer, faute de personnel soignant disponible.
‘’L'Ebola menace aussi des économies. Cette crise va probablement coûter 1 % à 1,5 % du PIB de la région du Mano, une région qui commençait à se remettre difficilement des années de crise, avec la guerre au Liberia et en Sierra Leone’’ a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kébé
Selon lui, ‘’Aujourd'hui, l'urgence est de renforcer les systèmes de santé, recruter du personnel, équiper les centres qui accueillent les malades de laboratoires, de matériels divers, et de matériel de télédétection pour les frontières. Il s'agit aussi de détruire les objets contaminés. Toutes choses que les centres devraient avoir pour faire face à ce type d'épidémie’’.
‘’Le rôle de l'OMS, en termes de coordination des multiples agences impliquées dans cette lutte, sera capital’’ a-t-il ajouté.
‘’La crise d'Ebola est très préoccupante, à plusieurs titres : D’abord, malgré des efforts combinés, la crise semble progresser et en train de devenir la crise la plus grave qu'on ait connue depuis longtemps. La crise Ebola emporte, en premier lieu, nos vaillants hommes et femmes des personnels de nos services de santé’’, a expliqué le président de la BAD.
La crise menace, non seulement les vies humaines, mais aussi les systèmes de santé, mettant en péril la capacité à traiter d'autres maladies.
On nous apprend aujourd'hui que dans les pays affectés, les personnes présentant des pathologies "normales", paludisme, etc., voire les femmes enceintes, ne savent plus à quel Saint se vouer, faute de personnel soignant disponible.
‘’L'Ebola menace aussi des économies. Cette crise va probablement coûter 1 % à 1,5 % du PIB de la région du Mano, une région qui commençait à se remettre difficilement des années de crise, avec la guerre au Liberia et en Sierra Leone’’ a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kébé