Ecobank Côte d’Ivoire enregistre un résultat net de 8,481 milliards au 1er trimestre, en hausse de 3,4 milliards de FCFA, soit 68% par rapport à mars 2020. Selon le rapport d’activités trimestriel, le Produit net bancaire a atteint 22,653 milliards, augmentation de 14,4% à fin mars 2021. Les principaux facteurs à l’origine de cette performance sont la hausse de 3,4 milliards de FCFA des produits hors intérêts (commissions nettes) qui a permis de compenser le retrait de 527 millions de FCFA (-3,4%) de la marge nette d’intérêts, ressortie à 14,8 milliards de FCFA en mars 2021.
Le maintien de la discipline dans la gestion des coûts a occasionné une baisse de 12,8% des charges d’exploitation, indique le rapport. Qui souligne que l’accent continuera d’être mis sur les frais généraux avec pour objectif de les rationaliser davantage grâce à la mise en place de plusieurs initiatives qui contribuent à cette dynamique.
Aussi, poursuit le document, la poursuite des efforts d’assainissement et le renforcement de la couverture des créances en souffrance ont eu des répercussions sur le coût du risque. Ce dernier, renseigne le texte, a connu une hausse de 51,2% à 3,7 milliards de FCFA en mars 2021 contre 2,4 milliards de FCFA l’année précédente.
Dans la même lancée le rapport confie que grâce aux évolutions favorables du Pnb (+14 ,4%) et des charges d’exploitation (-12,8%), le Résultat avant impôt a connu une hausse de 41,3% alors que les crédits accordés à la clientèle affichent un recul de 6% à 627,9 milliards de FCFA en mars 2021 contre 668,6 milliards de FCFA en mars 2020, conséquence d’un environnement économique contrasté.
Les dépôts collectés auprès de la clientèle restent stables, relève le document dans la foulée. A l’en croire, les efforts d’assainissement du portefeuille ont conduit à une hausse de 15,1% des provisions sur créances en souffrance, qui sont passées de 38,7 milliards de FCFA à 44,5 milliards de FCFA. Cela couplé à la baisse des créances en souffrance de 3,7 milliards a permis de faire passer la couverture desdites créances en souffrance à 91% en mars 2021 contre 73% en mars 2020.
« Le portefeuille de titres de la Banque s’établit à 627,9 milliards de FCFA et affiche une progression de 10% par rapport à mars 2020. Cette hausse résulte principalement des souscriptions aux titres de l’Etat de Côte d’Ivoire », conclut le rapport d’activités de Ecobank.
Bassirou MBAYE
Le maintien de la discipline dans la gestion des coûts a occasionné une baisse de 12,8% des charges d’exploitation, indique le rapport. Qui souligne que l’accent continuera d’être mis sur les frais généraux avec pour objectif de les rationaliser davantage grâce à la mise en place de plusieurs initiatives qui contribuent à cette dynamique.
Aussi, poursuit le document, la poursuite des efforts d’assainissement et le renforcement de la couverture des créances en souffrance ont eu des répercussions sur le coût du risque. Ce dernier, renseigne le texte, a connu une hausse de 51,2% à 3,7 milliards de FCFA en mars 2021 contre 2,4 milliards de FCFA l’année précédente.
Dans la même lancée le rapport confie que grâce aux évolutions favorables du Pnb (+14 ,4%) et des charges d’exploitation (-12,8%), le Résultat avant impôt a connu une hausse de 41,3% alors que les crédits accordés à la clientèle affichent un recul de 6% à 627,9 milliards de FCFA en mars 2021 contre 668,6 milliards de FCFA en mars 2020, conséquence d’un environnement économique contrasté.
Les dépôts collectés auprès de la clientèle restent stables, relève le document dans la foulée. A l’en croire, les efforts d’assainissement du portefeuille ont conduit à une hausse de 15,1% des provisions sur créances en souffrance, qui sont passées de 38,7 milliards de FCFA à 44,5 milliards de FCFA. Cela couplé à la baisse des créances en souffrance de 3,7 milliards a permis de faire passer la couverture desdites créances en souffrance à 91% en mars 2021 contre 73% en mars 2020.
« Le portefeuille de titres de la Banque s’établit à 627,9 milliards de FCFA et affiche une progression de 10% par rapport à mars 2020. Cette hausse résulte principalement des souscriptions aux titres de l’Etat de Côte d’Ivoire », conclut le rapport d’activités de Ecobank.
Bassirou MBAYE