«Depuis 2012, l’Etat du Sénégal, sous le leadership de Macky Sall, a déployé des moyens considérables pour développer le secteur de l’élevage, comme l’atteste le volume des ressources publiques qui a été triplé entre 2012 et 2021, passant de 8,891 milliards FCFA à 27,104 milliards FCFA », lit-on dans le document non sans revenir sur la part de ce secteur dans l’économie nationale.
«L’élevage est l’un des piliers de l’économie sénégalaise. Le secteur représente environ 4% du Pib national et génère 28% de la valeur ajoutée de l’agriculture. Au moins 550 000 ménages sénégalais pratiquent l’élevage comme activité. Et il assure les moyens d’existence de 30% des ménages en milieu rural. Ce qui en fait un levier déterminant dans le combat pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle », informe le Big.
En 2020, précise la même source, malgré les effets négatifs de la covid-19 sur pratiquement tous les secteurs de l’économie, l’élevage a affiché des performances spectaculaires. Il a contribué à hauteur de 20,7% à la valeur ajoutée du secteur primaire et 3,5% au Pib national. «Des résultats qui illustrent à suffisance le fort potentiel du secteur, riche d’un cheptel estimé à plus de 3,5 millions de bovins, 13 millions de petits ruminants, 950 000 équidés, 400 000 porcs, plus de 50 millions de volailles pour l’aviculture rurale et moderne, ainsi que d’importantes ressources naturelles », détaille le document.
Adou Faye
«L’élevage est l’un des piliers de l’économie sénégalaise. Le secteur représente environ 4% du Pib national et génère 28% de la valeur ajoutée de l’agriculture. Au moins 550 000 ménages sénégalais pratiquent l’élevage comme activité. Et il assure les moyens d’existence de 30% des ménages en milieu rural. Ce qui en fait un levier déterminant dans le combat pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle », informe le Big.
En 2020, précise la même source, malgré les effets négatifs de la covid-19 sur pratiquement tous les secteurs de l’économie, l’élevage a affiché des performances spectaculaires. Il a contribué à hauteur de 20,7% à la valeur ajoutée du secteur primaire et 3,5% au Pib national. «Des résultats qui illustrent à suffisance le fort potentiel du secteur, riche d’un cheptel estimé à plus de 3,5 millions de bovins, 13 millions de petits ruminants, 950 000 équidés, 400 000 porcs, plus de 50 millions de volailles pour l’aviculture rurale et moderne, ainsi que d’importantes ressources naturelles », détaille le document.
Adou Faye