Selon le rapport, les 620 millions d’Africains qui n’ont toujours pas accès à l’électricité ne peuvent attendre d’être raccordés au réseau. Certes, les projets d’extension colossaux tels que les grands barrages et les pools énergétiques sont indispensables au développement à grande échelle de la production et du transport énergétiques nationaux et régionaux. Mais, ils progressent lentement et entraînent des dépenses considérables. C’est pourquoi les États doivent également accroître les investissements dans le hors-réseau et les mini-réseaux, plus économiques et rapides à mettre en place.
« Nous invitons les gouvernements africains à exploiter toutes les sources d’énergie disponibles, afin de ne laisser personne de côté. Chaque pays doit choisir le bouquet énergétique le plus adapté à ses besoins, dans une optique de rentabilité et d’efficacité technologique maximales », a déclaré Kofi Annan, le président de l’Africa Progress Panel.
Toutefois, parmi les 315 millions de personnes qui auront accès à l’électricité d’ici 2040 dans les zones rurales d’Afrique, environ 30 % seulement seront raccordées aux réseaux nationaux. La plupart accéderont à l’électricité grâce aux installations à usage domestique hors réseau ou aux mini-réseaux.
« Comme le souligne notre nouveau rapport, la transition énergétique s’annonce sous d’excellents auspices pour qui sait faire preuve d’un bon leadership. Nous savons quelles sont les solutions à mettre en place afin de réduire et, à terme, de résorber le déficit énergétique de l’Afrique. Nous devons à présent nous consacrer à leur mise en œuvre. Il n’y a plus d’excuse possible. Il est temps d’agir. », a ajouté Kofi Annan.
Fatou Blondin CISSE
« Nous invitons les gouvernements africains à exploiter toutes les sources d’énergie disponibles, afin de ne laisser personne de côté. Chaque pays doit choisir le bouquet énergétique le plus adapté à ses besoins, dans une optique de rentabilité et d’efficacité technologique maximales », a déclaré Kofi Annan, le président de l’Africa Progress Panel.
Toutefois, parmi les 315 millions de personnes qui auront accès à l’électricité d’ici 2040 dans les zones rurales d’Afrique, environ 30 % seulement seront raccordées aux réseaux nationaux. La plupart accéderont à l’électricité grâce aux installations à usage domestique hors réseau ou aux mini-réseaux.
« Comme le souligne notre nouveau rapport, la transition énergétique s’annonce sous d’excellents auspices pour qui sait faire preuve d’un bon leadership. Nous savons quelles sont les solutions à mettre en place afin de réduire et, à terme, de résorber le déficit énergétique de l’Afrique. Nous devons à présent nous consacrer à leur mise en œuvre. Il n’y a plus d’excuse possible. Il est temps d’agir. », a ajouté Kofi Annan.
Fatou Blondin CISSE