Le Sénégal dope sa capacité énergétique. Le chef de l’Etat vient d’inaugurer la centrale électrique de Taiba Ndiaye.
Selon lui, la mise en service de cette centrale de Tobène Power, d’une capacité de 70 Méga Watt, pour un investissement de 80 milliards de FCFA, revêt une haute portée.
Pour le chef de l’Etat, le Sénégal a subi ces dernières décennies, une crise énergétique profonde et persistante ayant quasiment anéanti ses performances économiques.
Or, l’énergie est un moteur de développement économique et social. Sa maitrise est un préalable pour la productivité économique et l’amélioration des conditions de vie des populations.
C’est la raison pour laquelle, il a engagé dès son accession à la magistrature suprême, une nouvelle politique énergétique fondée sur la production d’une énergie de qualité, suffisante et à un coût compétitif.
Dans ce cadre, il a été initié deux projets phares pour stabiliser ce secteur, pilier du volet économique du Plan Sénégal Emergent (PSE). Il s’agit du Plan de relance intégré de l’électricité qui vise le renforcement des capacités de production avec un mix énergétique varié et équilibré, la réhabilitation et le développement des réseaux de transport et de distribution et le projet Service universel de l’énergie en vue de porter, le taux d’électrification rurale à 60% d’ici 2017 contre 24% en 2012 avec des disparités énormes entre les différents départements du pays.
Dans ce sens, des capacités additionnelles d’une puissance globale de 250 MW seront mises en service durant cette année avec les centrales de Taïba Ndiaye (105 MW), Cap des Biches (85 MW), Méouane (20 MW), Bokhole à Dagana (20 MW) et l’importation à partir de la Mauritanie (40 MW supplémentaires).
«Globalement, d’ici 2020, une puissance supplémentaire d’environ 1 000 Méga Watt sera injectée dans le réseau électrique du Sénégal», promet-il.
Pathé TOURE
Selon lui, la mise en service de cette centrale de Tobène Power, d’une capacité de 70 Méga Watt, pour un investissement de 80 milliards de FCFA, revêt une haute portée.
Pour le chef de l’Etat, le Sénégal a subi ces dernières décennies, une crise énergétique profonde et persistante ayant quasiment anéanti ses performances économiques.
Or, l’énergie est un moteur de développement économique et social. Sa maitrise est un préalable pour la productivité économique et l’amélioration des conditions de vie des populations.
C’est la raison pour laquelle, il a engagé dès son accession à la magistrature suprême, une nouvelle politique énergétique fondée sur la production d’une énergie de qualité, suffisante et à un coût compétitif.
Dans ce cadre, il a été initié deux projets phares pour stabiliser ce secteur, pilier du volet économique du Plan Sénégal Emergent (PSE). Il s’agit du Plan de relance intégré de l’électricité qui vise le renforcement des capacités de production avec un mix énergétique varié et équilibré, la réhabilitation et le développement des réseaux de transport et de distribution et le projet Service universel de l’énergie en vue de porter, le taux d’électrification rurale à 60% d’ici 2017 contre 24% en 2012 avec des disparités énormes entre les différents départements du pays.
Dans ce sens, des capacités additionnelles d’une puissance globale de 250 MW seront mises en service durant cette année avec les centrales de Taïba Ndiaye (105 MW), Cap des Biches (85 MW), Méouane (20 MW), Bokhole à Dagana (20 MW) et l’importation à partir de la Mauritanie (40 MW supplémentaires).
«Globalement, d’ici 2020, une puissance supplémentaire d’environ 1 000 Méga Watt sera injectée dans le réseau électrique du Sénégal», promet-il.
Pathé TOURE