Pour lutter contre le chômage des jeunes et des femmes, la Délégation générale à l’Entreprenariat rapide des femmes et des jeunes (Der) a décidé d’octroyer un financement d’un milliard de francs Cfa. Ce financement servira aux projets du secteur de l’élevage montés par les jeunes et les femmes. Il est prévu ainsi 500 millions pour les projets des jeunes et 500 millions pour les projets des femmes.
Lors d’une rencontre tenue vendredi dernier, le ministre de l’Elevage Aminata Mbengue Ndiaye et le Délégué général à l’entreprenariat des femmes et des jeunes (Der) ont expliqué aux éleveurs les critères de financement. Saluant cette initiative de la Der, Aminata Mbengue Ndiaye a dit sa joie : « C’est une très bonne initiative et la démarche du projet, sa stratégie d’intervention sur le terrain, rapide répond vraiment à des besoins d’emploi en direction des jeunes, nous enchante. Nous n’avons pas pu avoir une pareille démarche avec le système bancaire. Les acteurs que nous avons rencontrés ont eu à identifier un certain nombre de projets qui doivent être éligibles au niveau des guichets». Pour la suite, elle a indiqué que sous peu, ils vont mettre à la disposition de tous ses services régionaux et départementaux un canevas qui va être décentralisé avec la Der pour que l’élaboration des projets puisse être rapide pour les bénéficiaires.
Le Délégué général à l’entreprenariat rapide des femmes et des jeunes a expliqué leur objectif est de financer d’une manière très rapide les projets des jeunes et des femmes qui constituent les couches les plus vulnérables de nos sociétés. Assurant que le financement va commencer dès ce mois après réception des projets, il rappelle qu’en plus de ce financement, la Der a fait des tournées à l’intérieur du pays pour soutenir plusieurs sous-secteurs. Pour lui, le secteur de l’élevage pourra voir l’enveloppe grimper à deux milliards, si ce secteur fait de bonnes performances.
Répondant aux bénéficiaires qui ont demandé un accompagnement, M. Sarr a laissé entendre que la Der forme et renforce la capacité de tous ceux qui reçoivent leur financement. Aminata Mbengue Ndiaye est allée dans le même sens car pour elle, «s’il n’y a pas un suivi conséquent, ce qui est sûr c’est que les projets risquent de ne pas marcher». .
Tidiane Diouf
Lors d’une rencontre tenue vendredi dernier, le ministre de l’Elevage Aminata Mbengue Ndiaye et le Délégué général à l’entreprenariat des femmes et des jeunes (Der) ont expliqué aux éleveurs les critères de financement. Saluant cette initiative de la Der, Aminata Mbengue Ndiaye a dit sa joie : « C’est une très bonne initiative et la démarche du projet, sa stratégie d’intervention sur le terrain, rapide répond vraiment à des besoins d’emploi en direction des jeunes, nous enchante. Nous n’avons pas pu avoir une pareille démarche avec le système bancaire. Les acteurs que nous avons rencontrés ont eu à identifier un certain nombre de projets qui doivent être éligibles au niveau des guichets». Pour la suite, elle a indiqué que sous peu, ils vont mettre à la disposition de tous ses services régionaux et départementaux un canevas qui va être décentralisé avec la Der pour que l’élaboration des projets puisse être rapide pour les bénéficiaires.
Le Délégué général à l’entreprenariat rapide des femmes et des jeunes a expliqué leur objectif est de financer d’une manière très rapide les projets des jeunes et des femmes qui constituent les couches les plus vulnérables de nos sociétés. Assurant que le financement va commencer dès ce mois après réception des projets, il rappelle qu’en plus de ce financement, la Der a fait des tournées à l’intérieur du pays pour soutenir plusieurs sous-secteurs. Pour lui, le secteur de l’élevage pourra voir l’enveloppe grimper à deux milliards, si ce secteur fait de bonnes performances.
Répondant aux bénéficiaires qui ont demandé un accompagnement, M. Sarr a laissé entendre que la Der forme et renforce la capacité de tous ceux qui reçoivent leur financement. Aminata Mbengue Ndiaye est allée dans le même sens car pour elle, «s’il n’y a pas un suivi conséquent, ce qui est sûr c’est que les projets risquent de ne pas marcher». .
Tidiane Diouf