La révélation a été faite par Souleymane Diarrassouba, ministre du commerce, de l’industrie et de la promotion des Pme de la Côte d’Ivoire. C’était au terme d’une visite effectuée le samedi 16 décembre 2023 dans les installations de l’usine à Dakar. Il était accompagné de son homologue Abdou Karim Fofana, ministre du commerce, de la consommation et des Pme du Sénégal.
A en croire M. Diarrassouba, les travaux ont démarré et vont durer 12 mois. « Nous pensons qu’en fin 2024, début 2025, cette usine sera opérationnelle », a-t-il confié.
Pour lui, l’installation de cette usine va amener la Côte d’Ivoire à augmenter de façon substantielle et conformément aux orientations du président Alassane Ouattara de transformer au moins 50% de la production de cacao, d’atteindre cet objectif à l’horizon 2025.
L’installation de cette usine de FKS au bord de la Lagune Ebrié fait suite à l’agrément obtenu du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), il y a quelques mois.
Basé au Sénégal depuis 14 ans avec une expérience avérée, Groupe FKS importait déjà du cacao pour faire de la biscuiterie, des pâtes alimentaires et des pâtes à tartiner.
« Il était important pour nous de venir constater le savoir-faire de FKS au Sénégal et qui rentre dans les chaines de valeur régionale et internationale », estime le ministre Diarrassouba.
Il dit avoir beaucoup apprécié le processus de fabrication de FKS surtout concernant le respect des normes d’hygiène et puis la qualité des produits et du packaging. « Nous avons affaire à un groupe qui a une expérience avérée dans son secteur d’activité et nous sommes satisfait du fait que ce groupe ait choisi de prolonger ses investissements du Sénégal vers la Côte d’Ivoire ».
Abdou Karim Fofana rappelle que cette visite s’est tenue à l’issue du Forum d’Affaire Sénégal – Côte d’Ivoire et la Foire internationale de Dakar (Fidak).
Pour lui, FKS est une entreprise sénégalaise qui est un exemple de collaboration industrielle entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire avec la production de biscuits issus d’un mélange cacao-arachide. D’où la complémentarité des industries des deux pays.
Il corrobore cette action avec la volonté du Président Macky Sall de développer des agropoles dans chaque région, avoir les infrastructures qu’il faut pour accompagner les productions des terroirs, les transformer localement et pouvoir les exporter.
En la matière, poursuit-il, la Côte d’Ivoire est un exemple à suivre, avec beaucoup plus de ressources naturelles et un savoir-faire très connu en Afrique et dans le monde, en matière d’intégration des chaines de valeur et de consommation locale.
M. Fofana estime qu’il y a beaucoup de possibilités d’échanges et de co-investissements entre les deux pays.
Dans la même dynamique, son homologue ivoirien pense qu’il était important de montrer aux populations et opérateurs économiques que la dynamique de coopération entre les deux pays est déjà en marche.
De l’avis de M. Diarrassouba, la coopération sud-sud doit être une réalité. « L’Afrique doit produire ce qu’elle consomme et les populations doivent consommer ce que les entreprises africaines produisent ».
https://fr.allafrica.com
A en croire M. Diarrassouba, les travaux ont démarré et vont durer 12 mois. « Nous pensons qu’en fin 2024, début 2025, cette usine sera opérationnelle », a-t-il confié.
Pour lui, l’installation de cette usine va amener la Côte d’Ivoire à augmenter de façon substantielle et conformément aux orientations du président Alassane Ouattara de transformer au moins 50% de la production de cacao, d’atteindre cet objectif à l’horizon 2025.
L’installation de cette usine de FKS au bord de la Lagune Ebrié fait suite à l’agrément obtenu du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), il y a quelques mois.
Basé au Sénégal depuis 14 ans avec une expérience avérée, Groupe FKS importait déjà du cacao pour faire de la biscuiterie, des pâtes alimentaires et des pâtes à tartiner.
« Il était important pour nous de venir constater le savoir-faire de FKS au Sénégal et qui rentre dans les chaines de valeur régionale et internationale », estime le ministre Diarrassouba.
Il dit avoir beaucoup apprécié le processus de fabrication de FKS surtout concernant le respect des normes d’hygiène et puis la qualité des produits et du packaging. « Nous avons affaire à un groupe qui a une expérience avérée dans son secteur d’activité et nous sommes satisfait du fait que ce groupe ait choisi de prolonger ses investissements du Sénégal vers la Côte d’Ivoire ».
Abdou Karim Fofana rappelle que cette visite s’est tenue à l’issue du Forum d’Affaire Sénégal – Côte d’Ivoire et la Foire internationale de Dakar (Fidak).
Pour lui, FKS est une entreprise sénégalaise qui est un exemple de collaboration industrielle entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire avec la production de biscuits issus d’un mélange cacao-arachide. D’où la complémentarité des industries des deux pays.
Il corrobore cette action avec la volonté du Président Macky Sall de développer des agropoles dans chaque région, avoir les infrastructures qu’il faut pour accompagner les productions des terroirs, les transformer localement et pouvoir les exporter.
En la matière, poursuit-il, la Côte d’Ivoire est un exemple à suivre, avec beaucoup plus de ressources naturelles et un savoir-faire très connu en Afrique et dans le monde, en matière d’intégration des chaines de valeur et de consommation locale.
M. Fofana estime qu’il y a beaucoup de possibilités d’échanges et de co-investissements entre les deux pays.
Dans la même dynamique, son homologue ivoirien pense qu’il était important de montrer aux populations et opérateurs économiques que la dynamique de coopération entre les deux pays est déjà en marche.
De l’avis de M. Diarrassouba, la coopération sud-sud doit être une réalité. « L’Afrique doit produire ce qu’elle consomme et les populations doivent consommer ce que les entreprises africaines produisent ».
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