Il a assuré aux sénégalais que des audits seront faits sur les contrats qui seront renégociés si nécessaire, et, à l’en croire, ils ont d’ailleurs commencé l’exercice avec Woodside. « Je vous le dis, ici, qu’on va renégocier les contrats et vous verrez qu’on aura plus que ce l’on a maintenant en termes de revenus, confie le chef de l’Etat sénégalais.
Il a révélé dans la foulée que l’Etat a fait l’audit du contrat avec Woodside et il y a des choses notamment contestées sur les coûts investis et l’entreprise est d’accord là-dessus.
Concernant la possibilité de la réduction des prix de certains produits de première nécessité qui a coûté à l’Etat 53,4 milliards de francs Cfa, le président de la République a expliqué qu’il s’agissait « d’une ré-allocation des ressources ». « Il y avait des ressources qui étaient destinées à secteurs non prioritaires », ajoute-t-il.
Aussi, poursuit-il, « après concertation avec les acteurs on a trouvé qu’ils avaient des marges et cela conjugué avec les efforts de l’Etat en termes de renoncement, on savait qu’il y avait possibilité de diminuer certains prix ». En ce sens, le chef de l’Etat indique que le secteur privé a joué le jeu et il faut le reconnaître et le saluer pour cela.
Parlant de la rationalisation des dépenses, il soutient qu’il ne s’agit pas seulement de supprimer telle ou telle institution, mais d’opérer aussi un centrage des achats pour toute l’administration publique afin de jouer sur les coûts. Ce qui permet d’avoir un coût bas grâce à l’achat en grande quantité, par exemple, et par ricochet des économies sur les dépenses.
Dans le secteur de l’agriculture, Bassirou Diomaye Diakhare Faye informe qu’une diminution de 22% du prix de l’engrais est opérée cette année. Mieux, il faut savoir que le gouvernement a mis à la disposition des acteurs de l’agriculture 75 mille tonnes d’engrais cette année contre 35 mille tonnes l’année précédente.
Les sénégalais peuvent être rassurés sur deux choses. « La première est que nous ferons tout pour élargir l’assiette fiscale et augmenter le nombre de contributeurs. La deuxième chose est que l’argent de ces contribuables sera géré d’une manière transparente et ira là où il doit aller », confie le président de la République.
Par ailleurs il soutient que le Fonds monétaire international (Fmi) a raison par rapport à la subvention sur l’énergie car « elle concerne ceux qui en ont besoin et ceux qui n’en ont pas besoin ». Il faut, selon lui, un ciblage des bénéficiaires pour toucher ceux et celles qui en ont réellement besoin.
La Déclaration de politique générale (Dpg) du premier ministre n’a pu se tenir jusqu’ici à l’Assemblée nationale à cause du règlement intérieur qui a été modifié avec la suppression, par le prédécesseur de Bassirou Diomaye Faye, du poste de premier ministre.
Il informe avoir posé des actes allant dans le sens de trouver une solution à cette impasse. A ce titre, il annonce la « mise à jour du règlement intérieur de l’Assemblée nationale après une réunion du président Amadou Mame Diop et des présidents de groupes parlementaires prévue mardi ».
Cela va permettre de mettre un terme sur la polémique autour de la Déclaration de politique générale (Dpg) qui défraie la chronique ces temps-ci et qui doit être faite par le premier ministre Ousmane Sonko.
Concernant Mbour 4 il informe avoir « reçu le rapport aujourd’hui (13 juillet 2024 Ndlr ». « Est-ce que vous pouvez accepter que 9 personnes mettent la main sur 1134 parcelles ou encore 16 186 parcelles détenues par 34 personnes ? », interroge le président de la République.
Qui ajoute dans le même sillage que c’est ce qu’ils sont en train de corriger et si « on récupère des parcelles, ce ne sera pas pour les donner aux membres du gouvernement ou à des proches, mais ce sera pour faciliter aux populations l’accès aux logements ».
Bassirou MBAYE
Il a révélé dans la foulée que l’Etat a fait l’audit du contrat avec Woodside et il y a des choses notamment contestées sur les coûts investis et l’entreprise est d’accord là-dessus.
Concernant la possibilité de la réduction des prix de certains produits de première nécessité qui a coûté à l’Etat 53,4 milliards de francs Cfa, le président de la République a expliqué qu’il s’agissait « d’une ré-allocation des ressources ». « Il y avait des ressources qui étaient destinées à secteurs non prioritaires », ajoute-t-il.
Aussi, poursuit-il, « après concertation avec les acteurs on a trouvé qu’ils avaient des marges et cela conjugué avec les efforts de l’Etat en termes de renoncement, on savait qu’il y avait possibilité de diminuer certains prix ». En ce sens, le chef de l’Etat indique que le secteur privé a joué le jeu et il faut le reconnaître et le saluer pour cela.
Parlant de la rationalisation des dépenses, il soutient qu’il ne s’agit pas seulement de supprimer telle ou telle institution, mais d’opérer aussi un centrage des achats pour toute l’administration publique afin de jouer sur les coûts. Ce qui permet d’avoir un coût bas grâce à l’achat en grande quantité, par exemple, et par ricochet des économies sur les dépenses.
Dans le secteur de l’agriculture, Bassirou Diomaye Diakhare Faye informe qu’une diminution de 22% du prix de l’engrais est opérée cette année. Mieux, il faut savoir que le gouvernement a mis à la disposition des acteurs de l’agriculture 75 mille tonnes d’engrais cette année contre 35 mille tonnes l’année précédente.
Les sénégalais peuvent être rassurés sur deux choses. « La première est que nous ferons tout pour élargir l’assiette fiscale et augmenter le nombre de contributeurs. La deuxième chose est que l’argent de ces contribuables sera géré d’une manière transparente et ira là où il doit aller », confie le président de la République.
Par ailleurs il soutient que le Fonds monétaire international (Fmi) a raison par rapport à la subvention sur l’énergie car « elle concerne ceux qui en ont besoin et ceux qui n’en ont pas besoin ». Il faut, selon lui, un ciblage des bénéficiaires pour toucher ceux et celles qui en ont réellement besoin.
La Déclaration de politique générale (Dpg) du premier ministre n’a pu se tenir jusqu’ici à l’Assemblée nationale à cause du règlement intérieur qui a été modifié avec la suppression, par le prédécesseur de Bassirou Diomaye Faye, du poste de premier ministre.
Il informe avoir posé des actes allant dans le sens de trouver une solution à cette impasse. A ce titre, il annonce la « mise à jour du règlement intérieur de l’Assemblée nationale après une réunion du président Amadou Mame Diop et des présidents de groupes parlementaires prévue mardi ».
Cela va permettre de mettre un terme sur la polémique autour de la Déclaration de politique générale (Dpg) qui défraie la chronique ces temps-ci et qui doit être faite par le premier ministre Ousmane Sonko.
Concernant Mbour 4 il informe avoir « reçu le rapport aujourd’hui (13 juillet 2024 Ndlr ». « Est-ce que vous pouvez accepter que 9 personnes mettent la main sur 1134 parcelles ou encore 16 186 parcelles détenues par 34 personnes ? », interroge le président de la République.
Qui ajoute dans le même sillage que c’est ce qu’ils sont en train de corriger et si « on récupère des parcelles, ce ne sera pas pour les donner aux membres du gouvernement ou à des proches, mais ce sera pour faciliter aux populations l’accès aux logements ».
Bassirou MBAYE