L’association Saint-Louis jazz qui promeut cet événement signale que depuis la première édition, le festival a enregistré la participation de plus de 250 musiciens connus à travers le monde à l’image de Manu DIBANGO, Abdoullah IBRAHIM, Pharoah SANDERS, Jerry GONZALES, Youssou NDOUR, Gilberto GIL, Liz MCCOMB, Wasis DIOP, Ali Farka TOURE, Richard BONA, Richard GALIANO, Elvin JONES, Lucky PETERSON, Randy WESTON, Orchesta ARAGON, ou encore Femi KUTI.
Pourtant, les promoteurs du festival international de jazz de Saint-Louis qui est une « manifestation désormais inscrite au Catalogue des plus grands festivals du monde », rencontrent parfois des difficultés pour mobiliser les ressources financières nécessaires à sa tenue, comme l’avait souligné Me Ibrahima Diop l’année précédente en relevant « des difficultés relatives à la mobilisation des fonds pour l’organisation du festival ».
Ce qui l’avait poussé d’ailleurs à réitérer leur volonté, émise depuis quelques années, « de passer de l’association Saint-Louis jazz à une fondation Saint-Louis jazz ».
Une situation qui fait que le maire de la ville de Saint-Louis plaide pour un « budget annuel de 100 millions de francs Cfa au niveau du ministère de la Culture pour prendre en charge les frais d'organisation ». Mansour Faye, en l’occurrence, a soutenu lors du lancement de cet événement jeudi 16 mai 2024, que « c'est un chantier » dont ils souhaitent la « réalisation ». « C'est possible », a-t-il insisté. Il a dit espérer que le ministre en charge de la culture va abonder dans ce sens.
Dans son allocution au lancement de l’édition 2024 de l’événement, l’édile de la vielle ville a souligné l’importance du festival notamment son impact économique significatif sur la région.
Il a, en ce sens, appelé les nouvelles autorités notamment le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et son premier ministre Ousmane Sonko à « faciliter la réalisation de ce chantier ouvert il y a plusieurs années et visant à doter le festival d’un budget annuel de 100 millions de francs Cfa minimum ».
Un appel qui, si l’on se fie au constat sur le terrain, notamment en ce qui concerne l’aspect économique, mérite une attention particulière du fait de ce qu’il engendre comme profit et relèvement de l’activité.
Les réceptifs hôteliers sont pleins. Les commerces et les autres secteurs d’activités comme le tourisme, la restauration se frottent les mains même si ce n’est pas encore « le grand rush ».
Bassirou MBAYE
Pourtant, les promoteurs du festival international de jazz de Saint-Louis qui est une « manifestation désormais inscrite au Catalogue des plus grands festivals du monde », rencontrent parfois des difficultés pour mobiliser les ressources financières nécessaires à sa tenue, comme l’avait souligné Me Ibrahima Diop l’année précédente en relevant « des difficultés relatives à la mobilisation des fonds pour l’organisation du festival ».
Ce qui l’avait poussé d’ailleurs à réitérer leur volonté, émise depuis quelques années, « de passer de l’association Saint-Louis jazz à une fondation Saint-Louis jazz ».
Une situation qui fait que le maire de la ville de Saint-Louis plaide pour un « budget annuel de 100 millions de francs Cfa au niveau du ministère de la Culture pour prendre en charge les frais d'organisation ». Mansour Faye, en l’occurrence, a soutenu lors du lancement de cet événement jeudi 16 mai 2024, que « c'est un chantier » dont ils souhaitent la « réalisation ». « C'est possible », a-t-il insisté. Il a dit espérer que le ministre en charge de la culture va abonder dans ce sens.
Dans son allocution au lancement de l’édition 2024 de l’événement, l’édile de la vielle ville a souligné l’importance du festival notamment son impact économique significatif sur la région.
Il a, en ce sens, appelé les nouvelles autorités notamment le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et son premier ministre Ousmane Sonko à « faciliter la réalisation de ce chantier ouvert il y a plusieurs années et visant à doter le festival d’un budget annuel de 100 millions de francs Cfa minimum ».
Un appel qui, si l’on se fie au constat sur le terrain, notamment en ce qui concerne l’aspect économique, mérite une attention particulière du fait de ce qu’il engendre comme profit et relèvement de l’activité.
Les réceptifs hôteliers sont pleins. Les commerces et les autres secteurs d’activités comme le tourisme, la restauration se frottent les mains même si ce n’est pas encore « le grand rush ».
Bassirou MBAYE