« La loi de finances initiale pour l’année 2015 a été promulguée le 16 décembre 2014 et les crédits qu’elle a ouverts ont été mis en place par la circulaire depuis le 06 janvier 2015 », a révélé le ministre du budget. Selon M. Mangara le budget 2015 est un budget de développement avec des dépenses dédiées à l’investissement qui atteindront de nouveaux sommets avec 962 milliards FCFA, soit 20 milliards de plus comparativement à la loi de finances initiale 2014, avec une prépondérance pour les projets du Plan Sénégal émergent.
« Aussi, le budget 2015 n’a pas oublié d’être un budget social et cela se reflète dans les 48 milliards de CFA consacrés aux dépenses sociales pour les ménages et le recrutement de 4902 agents dont 1000 pour le secteur de la santé », a encore laissé entendre le ministre. Il ajoute qu’il s’agit d’un budget responsable en ce sens qu’il concilie soutenabilité de la dette (avec un allongement des maturités), maîtrise de la masse salariale (31.5% du PIB, inférieur au plafond UEMOA de 35%), maîtrise de l’inflation (2% seulement), croissance dynamique (avec un taux projeté de 5.4%), performance du système fiscal (avec 19.5% de taux de pression fiscale,), rationalisation des dépenses courantes, et choix judicieux des investissements publics.
« Mais, a laissé entendre M. Mangara à l’endroit des participants à l’atelier, tout cela sera bien entendu vain si vous, les techniciens chargés d’exécuter le budget, rencontrez des difficultés techniques pour accomplir votre mission ».
C’est dans ce sens que le ministre attend de ces techniciens l’identification des difficultés ainsi que la recommandation de solution pour le règlement définitif des entraves à la bonne exécution du Budget.
Ismaila BA
« Aussi, le budget 2015 n’a pas oublié d’être un budget social et cela se reflète dans les 48 milliards de CFA consacrés aux dépenses sociales pour les ménages et le recrutement de 4902 agents dont 1000 pour le secteur de la santé », a encore laissé entendre le ministre. Il ajoute qu’il s’agit d’un budget responsable en ce sens qu’il concilie soutenabilité de la dette (avec un allongement des maturités), maîtrise de la masse salariale (31.5% du PIB, inférieur au plafond UEMOA de 35%), maîtrise de l’inflation (2% seulement), croissance dynamique (avec un taux projeté de 5.4%), performance du système fiscal (avec 19.5% de taux de pression fiscale,), rationalisation des dépenses courantes, et choix judicieux des investissements publics.
« Mais, a laissé entendre M. Mangara à l’endroit des participants à l’atelier, tout cela sera bien entendu vain si vous, les techniciens chargés d’exécuter le budget, rencontrez des difficultés techniques pour accomplir votre mission ».
C’est dans ce sens que le ministre attend de ces techniciens l’identification des difficultés ainsi que la recommandation de solution pour le règlement définitif des entraves à la bonne exécution du Budget.
Ismaila BA