Comparées au mois de mai 2014, ces dépenses ont connu un accroissement de 3,2%. Selon la DPEE, « cet accroissement provient essentiellement des dépenses d’investissement et, dans une moindre mesure, des charges courantes ». Les dépenses en capital sont apparues en hausse de 22,4 milliards de FCFA, à la faveur aussi bien des investissements sur ressources internes et que ceux sur ressources externes qui ont progressé respectivement de 14,3 milliards de FCFA et 8,1 milliards de FCFA pour se situer respectivement 221,9 milliards de FCFA et 133,9 milliards de FCFA.
Quant aux investissements sur ressources internes, leur ratio par rapport aux recettes fiscales ressort à 30%, soit au-dessus du plancher communautaire fixé à 20%. Pour leur part, les dépenses courantes globales passent de 605 milliards de FCFA à 615 milliards FCFA entre les premiers semestres de 2013 et 2014. Cette évolution modérée est imputable au ralentissement de la progression des dépenses de fonctionnement (+1,9%), des intérêts sur la dette publique (+ 1,2%) avec des montants évalués respectivement à 322,3 milliards de FCFA et 57,8 milliards de FCFA.
La masse salariale est évaluée à 234,9 milliards de FCFA à fin juin 2014, soit une progression de 1,4%. Selon la DPEE, elle a représenté 31,8% des recettes fiscales (contre un plafond communautaire fixé à 35%).
El Hadj Diakhaté
Quant aux investissements sur ressources internes, leur ratio par rapport aux recettes fiscales ressort à 30%, soit au-dessus du plancher communautaire fixé à 20%. Pour leur part, les dépenses courantes globales passent de 605 milliards de FCFA à 615 milliards FCFA entre les premiers semestres de 2013 et 2014. Cette évolution modérée est imputable au ralentissement de la progression des dépenses de fonctionnement (+1,9%), des intérêts sur la dette publique (+ 1,2%) avec des montants évalués respectivement à 322,3 milliards de FCFA et 57,8 milliards de FCFA.
La masse salariale est évaluée à 234,9 milliards de FCFA à fin juin 2014, soit une progression de 1,4%. Selon la DPEE, elle a représenté 31,8% des recettes fiscales (contre un plafond communautaire fixé à 35%).
El Hadj Diakhaté