La réunion, qui se tiendra le dimanche 13 mai 2018, à partir de 16h, au Centre de conférences des Nations Unies, mettra l’accent sur les politiques fiscales critiques et les préoccupations de l’Afrique en matière de mobilisation des recettes et discutera les messages clés d’une étude sur l’architecture de gouvernance mondiale pour lutter contre les Flux financiers illicites et une étude de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) sur l’érosion de la base et le transfert des bénéfices d’un point de vue africain.
Gamal Ibrahim, Chef de la Section des finances et du secteur privé, de la Division des politiques macroéconomiques, de la CEA, déclare que l’évènement offre également une opportunité aux représentants de la CEA, du Forum africain d’administration fiscale et au Gouvernement de la Norvège, un partenaire de discuter des priorités qu’ils considèrent pour lutter contre les Flux financiers illicites en Afrique.
L’évènement parallèle aura lieu sous le thème, « Priorités pour la lutte contre les Flux financiers illicites en Afrique », organisé conjointement par la CEA, le Forum africain d’administration fiscale et le Gouvernement de la Norvège. L’Afrique perd plus de 50 milliards de dollars chaque année en raison des Flux financiers illicites.
Les pays africains se sont engagés à s’attaquer à ces flux au moyen de la cible 16.4 des Objectifs de développement durable et de la Déclaration spéciale de l’Assemblée de l’Union africaine sur les Flux financiers illicites en 2015.
L’évènement parallèle visera à identifier les obstacles tels que l’absence de transparence, la faiblesse des cadres juridiques et réglementaires et le manque de réactivité institutionnelle et d’action coordonnée aux efforts fournis par les gouvernements pour atténuer l’impact des Flux financiers illicites sur la mobilisation des ressources nationales.
Pathé TOURE
Gamal Ibrahim, Chef de la Section des finances et du secteur privé, de la Division des politiques macroéconomiques, de la CEA, déclare que l’évènement offre également une opportunité aux représentants de la CEA, du Forum africain d’administration fiscale et au Gouvernement de la Norvège, un partenaire de discuter des priorités qu’ils considèrent pour lutter contre les Flux financiers illicites en Afrique.
L’évènement parallèle aura lieu sous le thème, « Priorités pour la lutte contre les Flux financiers illicites en Afrique », organisé conjointement par la CEA, le Forum africain d’administration fiscale et le Gouvernement de la Norvège. L’Afrique perd plus de 50 milliards de dollars chaque année en raison des Flux financiers illicites.
Les pays africains se sont engagés à s’attaquer à ces flux au moyen de la cible 16.4 des Objectifs de développement durable et de la Déclaration spéciale de l’Assemblée de l’Union africaine sur les Flux financiers illicites en 2015.
L’évènement parallèle visera à identifier les obstacles tels que l’absence de transparence, la faiblesse des cadres juridiques et réglementaires et le manque de réactivité institutionnelle et d’action coordonnée aux efforts fournis par les gouvernements pour atténuer l’impact des Flux financiers illicites sur la mobilisation des ressources nationales.
Pathé TOURE