chroniques
L’institut d’émission note que les prix des principales matières premières exportées par les pays de l’Union ont également baissé au cours du mois sous revue, à l’exception de l’or. Les replis les plus significatifs ont été observés au niveau de la noix de cajou (-47,2%), du caoutchouc (-18,9%), du coton (-16,5%) et du café (-13,7%). En revanche, les cours mondiaux de l’or, valeur refuge, ont progressé de 30,6%.
Sur la même dynamique, la Bceao renseigne que les indices boursiers ont enregistré des évolutions contrastées, avec de fortes baisses, en rythme annuel de l'indice du FOOTSIE 100 (-16,9%) et celui du CAC 40 (-10,9%), contre des hausses pour le Nasdaq Composite (+25,6%) et le Standard&Poor's 500 (+5,4%).
Sur le marché des changes, le Japon et les Etats-Unis ont vu leurs monnaies se déprécier chacune de 1,6%, en rythme annuel, par rapport à l’euro, monnaie ancre du franc CFA. Par contre, la livre sterling (+1,8%) et le yuan (+1,3%) se sont appréciés au cours de la période sous revue.
Au titre de la conduite de la politique monétaire dans l’Uemoa, la Bceao précise avoir poursuivi son accompagnement des pays membres de l’Union dans un moment de relance de leurs activités économiques en baissant ses taux directeurs de 50 points de base. Le taux d'intérêt minimum de soumission aux opérations d’appels d’offres d’injection de liquidité est ainsi passé de 2,50% à 2,00% et le taux d'intérêt du guichet de prêt marginal a été ramené de 4,50% à 4,00%, à compter du 24 juin 2020.
A l’international, dans les économies émergentes, les autorités monétaires de la Fédération de Russie et du Brésil ont également baissé leurs taux directeurs au cours du mois sous revue.
Pour la Banque de Russie, le taux est passé de 5,500% à 4,500%. Concernant la Banque Centrale du Brésil, le taux directeur s'est replié à 2,250%, contre 3,000% en mai 2020.
Quant aux Banques centrales des pays développés, elles ont laissé inchangés leurs taux directeurs après les baisses réalisées au cours des mois précédents pour soutenir l'activité économique.
Adou FAYE
Sur la même dynamique, la Bceao renseigne que les indices boursiers ont enregistré des évolutions contrastées, avec de fortes baisses, en rythme annuel de l'indice du FOOTSIE 100 (-16,9%) et celui du CAC 40 (-10,9%), contre des hausses pour le Nasdaq Composite (+25,6%) et le Standard&Poor's 500 (+5,4%).
Sur le marché des changes, le Japon et les Etats-Unis ont vu leurs monnaies se déprécier chacune de 1,6%, en rythme annuel, par rapport à l’euro, monnaie ancre du franc CFA. Par contre, la livre sterling (+1,8%) et le yuan (+1,3%) se sont appréciés au cours de la période sous revue.
Au titre de la conduite de la politique monétaire dans l’Uemoa, la Bceao précise avoir poursuivi son accompagnement des pays membres de l’Union dans un moment de relance de leurs activités économiques en baissant ses taux directeurs de 50 points de base. Le taux d'intérêt minimum de soumission aux opérations d’appels d’offres d’injection de liquidité est ainsi passé de 2,50% à 2,00% et le taux d'intérêt du guichet de prêt marginal a été ramené de 4,50% à 4,00%, à compter du 24 juin 2020.
A l’international, dans les économies émergentes, les autorités monétaires de la Fédération de Russie et du Brésil ont également baissé leurs taux directeurs au cours du mois sous revue.
Pour la Banque de Russie, le taux est passé de 5,500% à 4,500%. Concernant la Banque Centrale du Brésil, le taux directeur s'est replié à 2,250%, contre 3,000% en mai 2020.
Quant aux Banques centrales des pays développés, elles ont laissé inchangés leurs taux directeurs après les baisses réalisées au cours des mois précédents pour soutenir l'activité économique.
Adou FAYE
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