« Il nous est soumis dans ce cadre, la situation des opérations effectuées sur les compte du Fonds de développement de l’énergie (FDE) dont les principales dotations proviennent des organes et institutions de l’UEMOA », a affirmé M. Giles Baillet Président en exercice du conseil des ministres statutaire de l’UEMOA par ailleurs ministre nigérien de l’économie et des finances à l’ouverture de la réunion. Le FDE a été mis en place par le conseil des ministres le 25 septembre 2009 et a pour objet de contribuer à l’amélioration de l’accès à l’énergie dans le cadre de l’Initiative régionale pour le développement de l’énergie (IRED).
La rencontre de Dakar sera aussi l’occasion pour le conseil des ministres de l’UEMOA de se pencher sur d’autres questions comme les réformes des marchés publics, le régime commun de suivi, de contrôle et de surveillance des pêches ainsi qu’à la révision des critères de convergence. Sur ce dernier point, M Baillet a avancé que « la révision répond aux préoccupations des ministres statutaires qui, tenant compte de l’évolution de l’environnement économique de l’Union et du non-respect du pacte de convergence, de stabilité, de croissance et de solidarité adopté en 1999, ont recommandé une analyse approfondie sur la pertinence de ces critères et les conditions de poursuite de la surveillance multilatérale ». Le président du conseil des ministres statutaire de l’UEMOA reconnait que les performances enregistrées dans ce cadre sont en-deçà des attentes et que les conditions d’accès à la phase de stabilité à partir du 1er janvier 2014 n’ont pas été remplies.
Durant leurs travaux à huit clos les ministres examineront également le rapport sur la situation économique et monétaire de l’UEMOA au 31 mars 2014 ainsi que le rapport semestriel d’exécution de la surveillance multilatérale du mois de juin 2014, suivi des recommandations d’orientations de politique économique pour l’année 2015.
El Hadj Diakhaté
La rencontre de Dakar sera aussi l’occasion pour le conseil des ministres de l’UEMOA de se pencher sur d’autres questions comme les réformes des marchés publics, le régime commun de suivi, de contrôle et de surveillance des pêches ainsi qu’à la révision des critères de convergence. Sur ce dernier point, M Baillet a avancé que « la révision répond aux préoccupations des ministres statutaires qui, tenant compte de l’évolution de l’environnement économique de l’Union et du non-respect du pacte de convergence, de stabilité, de croissance et de solidarité adopté en 1999, ont recommandé une analyse approfondie sur la pertinence de ces critères et les conditions de poursuite de la surveillance multilatérale ». Le président du conseil des ministres statutaire de l’UEMOA reconnait que les performances enregistrées dans ce cadre sont en-deçà des attentes et que les conditions d’accès à la phase de stabilité à partir du 1er janvier 2014 n’ont pas été remplies.
Durant leurs travaux à huit clos les ministres examineront également le rapport sur la situation économique et monétaire de l’UEMOA au 31 mars 2014 ainsi que le rapport semestriel d’exécution de la surveillance multilatérale du mois de juin 2014, suivi des recommandations d’orientations de politique économique pour l’année 2015.
El Hadj Diakhaté