Créé en 1998, l'Icann délivre les noms de domaine sur internet, comme .com ou .gov. Il a son siège en Californie et relève à ce titre, en dernière instance, du département du Commerce américain.
Washington fait un pas vers une gouvernance mondiale. Le département du Commerce a indiqué dans un communiqué qu'il allait convoquer "les acteurs à travers le monde pour réfléchir à des pistes" qui permettront de retirer le rôle central du gouvernement américain dans la supervision de l'Icann, le régulateur mondial d'Internet chargé de valider les noms de domaines.
Une décision qui survient alors que Washington affronte les critiques à travers la monde, dont celles de dirigeants étrangers, en raison des méthodes employées par l'agence de renseignement NSA.
Créé en 1998, l'Icann délivre les noms de domaine sur internet, comme .com ou .gov. Il a son siège en Californie et relève à ce titre, en dernière instance, du département du Commerce américain.
Pour l'heure, la démarche américaine ne devrait avoir aucun impact pour les internautes et l'Icann continuera de son côté à administrer les noms de domaines.
Latribune.fr
Une décision qui survient alors que Washington affronte les critiques à travers la monde, dont celles de dirigeants étrangers, en raison des méthodes employées par l'agence de renseignement NSA.
"Renforcer le modèle de gouvernance globale d'Internet"
L'idée, a argué le département du Commerce, est "de soutenir et de renforcer le modèle de gouvernance globale d'internet". "Le temps est venu de lancer un processus de transition", a déclaré le secrétaire adjoint au Commerce, Lawrence Strickling.Créé en 1998, l'Icann délivre les noms de domaine sur internet, comme .com ou .gov. Il a son siège en Californie et relève à ce titre, en dernière instance, du département du Commerce américain.
Une conférence internationale au Brésil en avril
Une conférence internationale sur internet doit ainsi se tenir au Brésil en avril, au cours de laquelle le patron de l'Icann a dit vouloir "atteindre un consensus sur un modèle de gouvernance globale de l'internet". Ce qui va dans le sens de la suggestion de la présidente brésilienne Dilma Rousseff, qui avait proposé un contrôle multilatéral de l'utilisation d'internet devant l'assemblée générale de l'ONU en septembre 2013.Pour l'heure, la démarche américaine ne devrait avoir aucun impact pour les internautes et l'Icann continuera de son côté à administrer les noms de domaines.
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