Le premier panel sur le thème de l’interopérabilité, normalisation des API bancaires et la nouvelle loi sur les services financiers a permis à Mouhamed Diop, représentant de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), de souligner que celle-ci est en train de « mettre en place une convention des participants pour l’interopérabilité », à l’instar de Star-Uemoa et des autres systèmes.
Selon lui, cette convention et une instruction de la Bceao permettront d’encadrer tout ce qui se fera au niveau des services financiers numériques dans le cadre de l’interopérabilité qui serait de mise « avant la fin de l’année 2023 ».
Saloum Diop du ministère sénégalais en charge des finances a indiqué que depuis 2016, « on utilise des outils bancaires ».
Mais, dit-il dans la foulée, « on est en train mettre à niveau nos dispositifs avec la mise en place de dispositions pour favoriser, concernant la comptabilité publique, les paiements et encaissements électroniques ».
Dans le même sillage, le directeur général de Orange finances mobiles Sénégal a relevé que l’interopérabilité va engendrer des opportunités. En ce sens, il faut comprendre, selon Cheikh Tidiane Sarr, que l’interopérabilité va permettre d’élargir le marché et faciliter les opérations.
Elle permettra aussi, à l’en croire, de renforcer l’écosystème des innovations, car les acteurs devront se réinventer en mettant à disposition plus de choix aux usagers, ce qui crée plus de valeur.
L’interopérabilité offre plus d’opportunités pour faire circuler l’argent, mais ce n’est pas sans risques, d’après les acteurs. L’un des risques identifié est lié à la sécurité, au fraude.
« Plus d’opportunités pour faire circuler l’argent, c’est plus de challenge pour tracer les flux et identifier les points de sortie et les points d’entrée », explique M. Sarr.
Qui a ainsi invité les différents acteurs à saisir les opportunités que va offrir l’interopérabilité et traiter ensemble les risques.
Bassirou MBAYE
Selon lui, cette convention et une instruction de la Bceao permettront d’encadrer tout ce qui se fera au niveau des services financiers numériques dans le cadre de l’interopérabilité qui serait de mise « avant la fin de l’année 2023 ».
Saloum Diop du ministère sénégalais en charge des finances a indiqué que depuis 2016, « on utilise des outils bancaires ».
Mais, dit-il dans la foulée, « on est en train mettre à niveau nos dispositifs avec la mise en place de dispositions pour favoriser, concernant la comptabilité publique, les paiements et encaissements électroniques ».
Dans le même sillage, le directeur général de Orange finances mobiles Sénégal a relevé que l’interopérabilité va engendrer des opportunités. En ce sens, il faut comprendre, selon Cheikh Tidiane Sarr, que l’interopérabilité va permettre d’élargir le marché et faciliter les opérations.
Elle permettra aussi, à l’en croire, de renforcer l’écosystème des innovations, car les acteurs devront se réinventer en mettant à disposition plus de choix aux usagers, ce qui crée plus de valeur.
L’interopérabilité offre plus d’opportunités pour faire circuler l’argent, mais ce n’est pas sans risques, d’après les acteurs. L’un des risques identifié est lié à la sécurité, au fraude.
« Plus d’opportunités pour faire circuler l’argent, c’est plus de challenge pour tracer les flux et identifier les points de sortie et les points d’entrée », explique M. Sarr.
Qui a ainsi invité les différents acteurs à saisir les opportunités que va offrir l’interopérabilité et traiter ensemble les risques.
Bassirou MBAYE