chroniques
''Ce forum s’inscrit dans le cadre d’un processus que nous avons lancé en 2008. Et nous avions pris l’initiative de s’impliquer dans la prise en compte et la formulation des politiques publique dans le secteur de l’agriculture’’, a indiqué, Boubacar Seck, du Conseil des organisations non gouvernementales d’appui au développement (CONGAD.
Il s’exprimait lors de cette rencontre organisée avec les porteurs d’enjeux venus des régions de Kolda, Sedhiou, Ziguinchor et de Kédougou.
Selon les organisateurs, le forum vise à ''recueillir les points de vues des acteurs à la base et (à) renforcer la capacité de participation de la société civile et notamment des élus au dialogue sur la prochaine réforme foncière''.
‘’Le CONGAD a réalisé une première étude sur l’agriculture au Sénégal qui a montré deux résultats faibles. Il s’agit des taux d’allocation budgétaire et le taux d’accès au crédit bancaire et cela nous avait conduit à identifier une nouvelle question de recherche portant sur la gouvernance foncière’’, a expliqué Boubacar Seck.
Il rappelle par ailleurs que la faiblesse du taux d’accès en termes de droits fonciers aux femmes et jeunes est de 80% au niveau national.
Prenant part à la rencontre, des acteurs de développement durable ont relevé que le forum entre dans le cadre du processus de l’élaboration et de validation d’un document qui sera proposé en vue de l’adoption de la prochaine loi axée sur la gestion du foncier au Sénégal.
Les acteurs de la société civile ont également plaidé pour la recherche de mécanismes qui selon eux, permettrons aux femmes et aux jeunes d’avoir accès à la terre.
APS
Il s’exprimait lors de cette rencontre organisée avec les porteurs d’enjeux venus des régions de Kolda, Sedhiou, Ziguinchor et de Kédougou.
Selon les organisateurs, le forum vise à ''recueillir les points de vues des acteurs à la base et (à) renforcer la capacité de participation de la société civile et notamment des élus au dialogue sur la prochaine réforme foncière''.
‘’Le CONGAD a réalisé une première étude sur l’agriculture au Sénégal qui a montré deux résultats faibles. Il s’agit des taux d’allocation budgétaire et le taux d’accès au crédit bancaire et cela nous avait conduit à identifier une nouvelle question de recherche portant sur la gouvernance foncière’’, a expliqué Boubacar Seck.
Il rappelle par ailleurs que la faiblesse du taux d’accès en termes de droits fonciers aux femmes et jeunes est de 80% au niveau national.
Prenant part à la rencontre, des acteurs de développement durable ont relevé que le forum entre dans le cadre du processus de l’élaboration et de validation d’un document qui sera proposé en vue de l’adoption de la prochaine loi axée sur la gestion du foncier au Sénégal.
Les acteurs de la société civile ont également plaidé pour la recherche de mécanismes qui selon eux, permettrons aux femmes et aux jeunes d’avoir accès à la terre.
APS
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