S’exprimant lors du Forum économique mondial sur l’Afrique, tenu du 7 au 9 mai à Abuja, le dirigeant du plus grand cabinet de conseil auprès des directions générales d’entreprises et des gouvernements a également précisé que «le développement des infrastructures est la clef de voûte d’une croissance inclusive en Afrique», notant que les ressources du continent ne se limitent pas uniquement aux ressources naturelles abondantes.
L’Afrique souffre d’un énorme déficit d’infrastructures (, routes, électricité, chemins de fer, ports, aéroports…). Selon la Banque africaine de développement (BAD), moins du tiers de la population africaine a accès à une route praticable en toute saison, tandis que les coûts de transport et les délais d’acheminement des marchandises le long des corridors routiers sont deux à trois fois supérieurs à ceux des autres régions du monde.
La Banque mondiale, estime à près de 100 milliards de dollars par an les besoins en investissements dans le domaine des infrastructures sur le continent.
Sur un autre plan, le directeur général de McKinsey & Company a expliqué le taux de chômage élevé des jeunes africains par le fait que la plupart des pays du continent ont mettent l’accent sur la formation théorique, ce qui a abouti à une forte inadéquation entre les compétences des diplômés et les besoins réels du marché de l’emploi.
Selon lui, 30% seulement des jeunes diplômés africains à la recherche d’un emploi disposent des compétences requises.
Ecofin
L’Afrique souffre d’un énorme déficit d’infrastructures (, routes, électricité, chemins de fer, ports, aéroports…). Selon la Banque africaine de développement (BAD), moins du tiers de la population africaine a accès à une route praticable en toute saison, tandis que les coûts de transport et les délais d’acheminement des marchandises le long des corridors routiers sont deux à trois fois supérieurs à ceux des autres régions du monde.
La Banque mondiale, estime à près de 100 milliards de dollars par an les besoins en investissements dans le domaine des infrastructures sur le continent.
Sur un autre plan, le directeur général de McKinsey & Company a expliqué le taux de chômage élevé des jeunes africains par le fait que la plupart des pays du continent ont mettent l’accent sur la formation théorique, ce qui a abouti à une forte inadéquation entre les compétences des diplômés et les besoins réels du marché de l’emploi.
Selon lui, 30% seulement des jeunes diplômés africains à la recherche d’un emploi disposent des compétences requises.
Ecofin