La vaccination est généralement considérée comme l’une des interventions sanitaires les plus efficaces et les moins coûteuses. Pourtant, plus de 19 millions d’enfants dans le monde ne sont pas – ou pas assez – vaccinés et risquent donc de contracter des maladies potentiellement mortelles. 10% de ces enfants ne sont jamais vaccinés et, très probablement, n’ont jamais été en contact avec le système de santé, rappelle l’OMS.
La Semaine mondiale de la vaccination – célébrée chaque année la dernière semaine d’avril – vise à mettre l’accent sur la nécessité d’agir collectivement pour que chacun soit protégé des maladies à prévention vaccinale. Le thème de cette année – Protégés ensemble, #LesVaccinsCaMarche– a pour but d’encourager les gens à tous les niveaux, des donateurs au grand public à poursuivre leurs efforts afin d’accroître la couverture vaccinale.
« Les gouvernements doivent investir dans l’effort de vaccination, la vaccination doit être présentée comme une priorité par ceux qui la défendent et les gens doivent se faire vacciner et faire vacciner leur famille », déclare l’OMS.
Dans le cadre de cette campagne, l’OMS et ses partenaires souhaitent souligner l’importance de la vaccination et les lacunes de la couverture ; signaler aux pays donateurs l’intérêt des vaccins et l’importance d’investir dans les efforts de vaccination ; et montrer comment chacun – donateur ou particulier – peut et doit contribuer aux progrès en matière de vaccination.
Le Plan d’action mondial pour les vaccins – approuvé par les 194 États membres de l’OMS à l’Assemblée mondiale de la Santé en mai 2012 – vise à prévenir, d’ici à 2020, des millions de décès grâce à l’accès universel à la vaccination. Malgré des améliorations dans certains pays et un fort taux d’introduction de nouveaux vaccins au niveau mondial, on constate un retard en ce qui concerne l’élimination de certaines maladies, dont la rougeole, la rubéole et le tétanos maternel et néonatal.
Selon l’OMS, pour que chacun, où qu’il vive, puisse survivre et s’épanouir, les pays doivent faire davantage d’efforts concertés pour atteindre les buts fixés dans le Plan d’action à l’horizon 2020. En outre, les pays qui ont déjà atteint ces buts ou qui ont considérablement progressé doivent tout faire pour pérenniser ces acquis – afin que tout le monde reçoive les vaccins vitaux.
Un.org
La Semaine mondiale de la vaccination – célébrée chaque année la dernière semaine d’avril – vise à mettre l’accent sur la nécessité d’agir collectivement pour que chacun soit protégé des maladies à prévention vaccinale. Le thème de cette année – Protégés ensemble, #LesVaccinsCaMarche– a pour but d’encourager les gens à tous les niveaux, des donateurs au grand public à poursuivre leurs efforts afin d’accroître la couverture vaccinale.
« Les gouvernements doivent investir dans l’effort de vaccination, la vaccination doit être présentée comme une priorité par ceux qui la défendent et les gens doivent se faire vacciner et faire vacciner leur famille », déclare l’OMS.
Objectifs de la campagne de 2018
En 2018, la Semaine mondiale de la vaccination a pour objectif d’intensifier l’action en faveur de la vaccination, en mettant l’accent sur le rôle que chacun – donateur ou particulier – peut jouer à cet égard.Dans le cadre de cette campagne, l’OMS et ses partenaires souhaitent souligner l’importance de la vaccination et les lacunes de la couverture ; signaler aux pays donateurs l’intérêt des vaccins et l’importance d’investir dans les efforts de vaccination ; et montrer comment chacun – donateur ou particulier – peut et doit contribuer aux progrès en matière de vaccination.
Le Plan d’action mondial pour les vaccins – approuvé par les 194 États membres de l’OMS à l’Assemblée mondiale de la Santé en mai 2012 – vise à prévenir, d’ici à 2020, des millions de décès grâce à l’accès universel à la vaccination. Malgré des améliorations dans certains pays et un fort taux d’introduction de nouveaux vaccins au niveau mondial, on constate un retard en ce qui concerne l’élimination de certaines maladies, dont la rougeole, la rubéole et le tétanos maternel et néonatal.
Selon l’OMS, pour que chacun, où qu’il vive, puisse survivre et s’épanouir, les pays doivent faire davantage d’efforts concertés pour atteindre les buts fixés dans le Plan d’action à l’horizon 2020. En outre, les pays qui ont déjà atteint ces buts ou qui ont considérablement progressé doivent tout faire pour pérenniser ces acquis – afin que tout le monde reçoive les vaccins vitaux.
Un.org