«Aujourd’hui, plus de 300 millions de personnes n’ont pas accès à de l’eau propre et potable et de nombreuses femmes et enfants passent de longues heures à la recherche de points d’eau et se voient refuser l’opportunité de sortir de l’extrême pauvreté», déclare Songwe.
Guang Zhe Chen, Directeur principal de la Pratique mondiale de l’eau de la Banque mondiale, rappelle aux participants la nécessité de reconnaître l’eau comme «le moteur de la croissance économique, de la sécurité alimentaire et du développement du capital humain».
M. Chen souligne l’importance de développer des services d’eau de qualité de manière durable et résiliente, notant que pour que cela se produise, « nous devons travailler avec d’autres secteurs, partenaires et trouver des solutions publiques-privées ».
Seleshi Bekele, Ministre éthiopien de l’eau, de l’irrigation et de l’électricité souligne l’importance de la participation publique-privée dans le secteur de l’eau et dit que « l’approche actuelle de l’aide humanitaire est intenable ».
Elle félicite l’Éthiopie pour certains de ses programmes en matière de gestion des ressources en eau, en particulier ceux dans lesquels les enfants des écoles primaires participent à un exercice d’essais et d’analyses de l’eau.
«Il n’y a rien de mieux que de faire comprendre aux enfants de cet âge, l’importance de ce processus », indique Songwe. « C’est une pratique qui peut être reproduite dans d’autres pays afin que les jeunes soient conscients de la gestion et de l’utilisation efficaces de l’eau».
La Secrétaire exécutive fait savoir que l’une des orientations stratégiques de la CEA aujourd’hui consiste à œuvrer sur les questions transfrontalières, et que « il n’existe pas de problème transfrontalier plus important que ceux de l’eau dans les différents bassins du continent comme le Nil et le Lac Tchad».
«Nous travaillons en étroite collaboration avec les gouvernements pour veiller à ce que l’eau dans ces zones transfrontalières soit correctement gérée au profit des populations locales», note-t-elle.
Vera Songwe profite de l’occasion pour féliciter l’Union africaine et les chefs d’État africains d’avoir décidé d’œuvrer pour l’adoption en 2025, d’un programme sur l’eau. Elle exprime «l’espoir que tout le travail que nous faisons actuellement permettra largement d’inspirer cet important programme politique sur lequel nos chefs d’État ont décidé de se concentrer».
La Semaine africaine de l’eau se déroulera du 7 au 11 mai 2018.
Pathé TOURE
Guang Zhe Chen, Directeur principal de la Pratique mondiale de l’eau de la Banque mondiale, rappelle aux participants la nécessité de reconnaître l’eau comme «le moteur de la croissance économique, de la sécurité alimentaire et du développement du capital humain».
M. Chen souligne l’importance de développer des services d’eau de qualité de manière durable et résiliente, notant que pour que cela se produise, « nous devons travailler avec d’autres secteurs, partenaires et trouver des solutions publiques-privées ».
Seleshi Bekele, Ministre éthiopien de l’eau, de l’irrigation et de l’électricité souligne l’importance de la participation publique-privée dans le secteur de l’eau et dit que « l’approche actuelle de l’aide humanitaire est intenable ».
Elle félicite l’Éthiopie pour certains de ses programmes en matière de gestion des ressources en eau, en particulier ceux dans lesquels les enfants des écoles primaires participent à un exercice d’essais et d’analyses de l’eau.
«Il n’y a rien de mieux que de faire comprendre aux enfants de cet âge, l’importance de ce processus », indique Songwe. « C’est une pratique qui peut être reproduite dans d’autres pays afin que les jeunes soient conscients de la gestion et de l’utilisation efficaces de l’eau».
La Secrétaire exécutive fait savoir que l’une des orientations stratégiques de la CEA aujourd’hui consiste à œuvrer sur les questions transfrontalières, et que « il n’existe pas de problème transfrontalier plus important que ceux de l’eau dans les différents bassins du continent comme le Nil et le Lac Tchad».
«Nous travaillons en étroite collaboration avec les gouvernements pour veiller à ce que l’eau dans ces zones transfrontalières soit correctement gérée au profit des populations locales», note-t-elle.
Vera Songwe profite de l’occasion pour féliciter l’Union africaine et les chefs d’État africains d’avoir décidé d’œuvrer pour l’adoption en 2025, d’un programme sur l’eau. Elle exprime «l’espoir que tout le travail que nous faisons actuellement permettra largement d’inspirer cet important programme politique sur lequel nos chefs d’État ont décidé de se concentrer».
La Semaine africaine de l’eau se déroulera du 7 au 11 mai 2018.
Pathé TOURE