‘’Au niveau du Fonds de garantie des investissements prioritaires (FONGIP), l’artisanat constitue une importance capitale et représente le troisième niveau d’activités en termes de résultats’’, a-t-il indiqué.
M. Diallo, qui intervenait à l’occasion des 72 heures de la fédération départementale des artisans de Mbour (FAM), qui porte sur le thème : ‘’L’artisanat, une économie émergente’’, a déclaré que ‘’l’artisanat est une activité importante dans le tissu économique du Sénégal’’ et
occupe une place importante dans le Plan Sénégal émergent (PSE).
Driss Junior Diallo a profité de son face à face avec les artisans du département de Mbour pour expliquer comment faire pour pouvoir accéder aux financements à allouer par le FONGIP, soulignant qu’accéder aux financements de sa structure n’est pas du tout difficile.
Il suffit tout simplement que le groupement ou l’individu présente un ‘’dossier bancable, parce que bien ficelé’’ pour bénéficier de financement du FONGIP, à travers un accompagnement sous portefeuille, qui est l’un des produits du FONGIP, a indiqué M. Diallo.
‘’Le cœur d’activité du FONGIP, ce sont les micro entreprises et les petites et moyennes entreprises (PME). Nous avons, entre autres missions, d’aider les gens à se formaliser, à avoir des projets bancables, parce qu’à l’origine, les difficultés d’accès au financement étaient dues à des dossiers qui n’avaient pas de satisfaction technique en matière de « bancabilité » de projets et l’absence de garantie’’, a-t-il relevé le responsable du FONGIP.
En mettant en place le système d’accompagnement qui permet aujourd’hui d’avoir des projets de façon gratuite, bien ficelé et bien modelé pour aller dans les banques et autres établissements financiers avec la garantie du FONGIP, cette dernière a voulu que l’accompagnement pour les artisans se fassent plus facilement.
‘’Nous avons eu à l’expérimenter à Mbour, à Ziguinchor, à Tambacounda, à Kaolack, à Fatick, etc. L’accompagnement technique des artisans se fera avec le financement de micro projets qui n’ont pas besoin forcément de grands montants’’, a dit Diallo.
Dans le département de Mbour, la première difficulté des artisans demeure l’absence de formalisation, parce que travaillant dans l’informel total, a signalé Lucien De Souza, l’un des responsables de la FAM, qui soutient qu’’’il faut impérativement se formaliser’’.
‘’L’Agence de promotion et de développement de l’artisanat (APDA) a diagnostiqué d’une manière exhaustive la situation et a relevé les contraintes mais aussi les opportunités qui s’offrent à ce secteur’’, a fait observer M. De Souza qui a beaucoup insisté sur la formation des acteurs artisanaux.
Serigne Makhtar Fall
M. Diallo, qui intervenait à l’occasion des 72 heures de la fédération départementale des artisans de Mbour (FAM), qui porte sur le thème : ‘’L’artisanat, une économie émergente’’, a déclaré que ‘’l’artisanat est une activité importante dans le tissu économique du Sénégal’’ et
occupe une place importante dans le Plan Sénégal émergent (PSE).
Driss Junior Diallo a profité de son face à face avec les artisans du département de Mbour pour expliquer comment faire pour pouvoir accéder aux financements à allouer par le FONGIP, soulignant qu’accéder aux financements de sa structure n’est pas du tout difficile.
Il suffit tout simplement que le groupement ou l’individu présente un ‘’dossier bancable, parce que bien ficelé’’ pour bénéficier de financement du FONGIP, à travers un accompagnement sous portefeuille, qui est l’un des produits du FONGIP, a indiqué M. Diallo.
‘’Le cœur d’activité du FONGIP, ce sont les micro entreprises et les petites et moyennes entreprises (PME). Nous avons, entre autres missions, d’aider les gens à se formaliser, à avoir des projets bancables, parce qu’à l’origine, les difficultés d’accès au financement étaient dues à des dossiers qui n’avaient pas de satisfaction technique en matière de « bancabilité » de projets et l’absence de garantie’’, a-t-il relevé le responsable du FONGIP.
En mettant en place le système d’accompagnement qui permet aujourd’hui d’avoir des projets de façon gratuite, bien ficelé et bien modelé pour aller dans les banques et autres établissements financiers avec la garantie du FONGIP, cette dernière a voulu que l’accompagnement pour les artisans se fassent plus facilement.
‘’Nous avons eu à l’expérimenter à Mbour, à Ziguinchor, à Tambacounda, à Kaolack, à Fatick, etc. L’accompagnement technique des artisans se fera avec le financement de micro projets qui n’ont pas besoin forcément de grands montants’’, a dit Diallo.
Dans le département de Mbour, la première difficulté des artisans demeure l’absence de formalisation, parce que travaillant dans l’informel total, a signalé Lucien De Souza, l’un des responsables de la FAM, qui soutient qu’’’il faut impérativement se formaliser’’.
‘’L’Agence de promotion et de développement de l’artisanat (APDA) a diagnostiqué d’une manière exhaustive la situation et a relevé les contraintes mais aussi les opportunités qui s’offrent à ce secteur’’, a fait observer M. De Souza qui a beaucoup insisté sur la formation des acteurs artisanaux.
Serigne Makhtar Fall