‘‘3, 5 millions d’individus, issus pour la plupart des couches les plus vulnérables du monde rural vivent directement de l’élevage qui joue donc un rôle important pour la sécurité alimentaire des ménages et constitue une épargne pour beaucoup d’exploitants’’, a déclaré M. Niang.
Il s’exprimait lors de l’ouverture, lundi à l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) de Dakar, d’un atelier international de trois jours sur la question de l’élevage face aux changements climatiques.
‘‘Le gouvernement du Sénégal, qui a très tôt compris le rôle déterminant que peut jouer l’élevage dans la sécurité alimentaire des populations et dans la lutte contre la pauvreté, a entrepris, depuis plusieurs décennies, des mesures tendant à la modernisation de ce secteur pour une plus grande productivité’’, a souligné le docteur Niang.
‘‘Cependant, a-t-il poursuivi, les résultats tardent encore à répondre aux attentes en raison de multiples contraintes dont les changements climatiques, principalement liés à l’émission des gaz à effet de serre (GES) provenant des activités humaines et animales’’.
Des représentants d’organisations nationales et internationales, des chercheurs et des membres d’équipes de recherche, qui participent à cet atelier international, devront se concerter sur la question de savoir ‘‘Comment adapter les systèmes d’élevage aux changements climatiques?’’.
Le docteur Massata Niang a signifié aux participants ‘‘l’intérêt tout particulier du gouvernement sénégalais pour ces travaux dont l’application pourrait avoir un impact significatif sur la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE)’’.
‘‘Nous ne saurions militer, pour le moment pour une quelconque solution, nous nous remettons entièrement à la sagesse et à la perspicacité des spécialistes de la question que vous êtes’’, a dit M. Niang.
APS
Il s’exprimait lors de l’ouverture, lundi à l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) de Dakar, d’un atelier international de trois jours sur la question de l’élevage face aux changements climatiques.
‘‘Le gouvernement du Sénégal, qui a très tôt compris le rôle déterminant que peut jouer l’élevage dans la sécurité alimentaire des populations et dans la lutte contre la pauvreté, a entrepris, depuis plusieurs décennies, des mesures tendant à la modernisation de ce secteur pour une plus grande productivité’’, a souligné le docteur Niang.
‘‘Cependant, a-t-il poursuivi, les résultats tardent encore à répondre aux attentes en raison de multiples contraintes dont les changements climatiques, principalement liés à l’émission des gaz à effet de serre (GES) provenant des activités humaines et animales’’.
Des représentants d’organisations nationales et internationales, des chercheurs et des membres d’équipes de recherche, qui participent à cet atelier international, devront se concerter sur la question de savoir ‘‘Comment adapter les systèmes d’élevage aux changements climatiques?’’.
Le docteur Massata Niang a signifié aux participants ‘‘l’intérêt tout particulier du gouvernement sénégalais pour ces travaux dont l’application pourrait avoir un impact significatif sur la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE)’’.
‘‘Nous ne saurions militer, pour le moment pour une quelconque solution, nous nous remettons entièrement à la sagesse et à la perspicacité des spécialistes de la question que vous êtes’’, a dit M. Niang.
APS