16 étudiants Sénégalais ont reçu de la part des écoles Pies de l’Afrique de l’Ouest des bourses d’études dans le cadre du programme ‘’Bourses Nous Cims’’. Le coût de la formation est de 12 millions de francs Cfa. Cette formation concerne la licence ou le master en fonction du niveau des jeunes boursiers. Mathieu Ntab, chargé de la Communication et de la soutenabilité économique des écoles Pies, a expliqué au cours d’un séminaire tenu avec les 16 boursiers que ces bourses sont destinées aux jeunes bacheliers ou étudiants en fonction d’un statut social pour donner une chance aux jeunes issus de familles précaires ; en fonction du critère d’excellence et du genre avec un léger avantage aux filles.
En 2018 le nombre de bourses est de 16 mais le programme compte atteindre 30 bourses dès 2019 soit un montant de 30 millions de francs Cfa. Cependant pour éviter que ces jeunes boursiers viennent gonfler le rang des chômeurs après leur formation, ils ont bénéficié d’une en développement personnel et en leadership. Formation effectuée par Joel William Gbaguidi, expert en intelligence Management et coach en développement personnel. Celui qui fait office de professeur en développement personnel à l’Institut Africain de management(Iam), a dit aux étudiants que le développement personnel est une réponse toute faite parce que c’est une dynamique du développement dans l’évolution de l’individu. «Les jeunes devraient être préparés à prendre leur responsabilité. Mais on a des gens qui restent sous couvert jusqu’à une période avancée de leur âge. Nous sommes maintenant dans une dynamique de sous développement personnel que de développement personnel, ce qui rend les choses difficiles. Sur le chômage, il y a de l’emploi mais ce qui ne va pas c’est la manière dont on va au travail, dont on cherche le travail», dit le formateur. «A l’école tout le monde fait la même chose et ne sait pas pourquoi il le fait ; c’est la logique de standardisation. Les études supérieures c’est pour travailler, c’est pour apprendre un métier. Mais ce n’est pas le cas souvent. Il y a des spécialisations dans lesquelles on ne peut pas recruter. L’étudiant doit comprendre le métier qu’il veut faire et voir les conditions dans lesquelles les gens recrutent», conseille Joel William Gbaguidi, expert en intelligence Management et coach en développement personnel aux étudiants.
Tidiane Diouf
En 2018 le nombre de bourses est de 16 mais le programme compte atteindre 30 bourses dès 2019 soit un montant de 30 millions de francs Cfa. Cependant pour éviter que ces jeunes boursiers viennent gonfler le rang des chômeurs après leur formation, ils ont bénéficié d’une en développement personnel et en leadership. Formation effectuée par Joel William Gbaguidi, expert en intelligence Management et coach en développement personnel. Celui qui fait office de professeur en développement personnel à l’Institut Africain de management(Iam), a dit aux étudiants que le développement personnel est une réponse toute faite parce que c’est une dynamique du développement dans l’évolution de l’individu. «Les jeunes devraient être préparés à prendre leur responsabilité. Mais on a des gens qui restent sous couvert jusqu’à une période avancée de leur âge. Nous sommes maintenant dans une dynamique de sous développement personnel que de développement personnel, ce qui rend les choses difficiles. Sur le chômage, il y a de l’emploi mais ce qui ne va pas c’est la manière dont on va au travail, dont on cherche le travail», dit le formateur. «A l’école tout le monde fait la même chose et ne sait pas pourquoi il le fait ; c’est la logique de standardisation. Les études supérieures c’est pour travailler, c’est pour apprendre un métier. Mais ce n’est pas le cas souvent. Il y a des spécialisations dans lesquelles on ne peut pas recruter. L’étudiant doit comprendre le métier qu’il veut faire et voir les conditions dans lesquelles les gens recrutent», conseille Joel William Gbaguidi, expert en intelligence Management et coach en développement personnel aux étudiants.
Tidiane Diouf