Présidant, à Saly-Portudal, dans le département de Mbour (Sénégal), la cérémonie officielle de l’atelier de partage et de validation des résultats de l’étude sur la réforme institutionnelle du Comité national sur les changements climatiques (COMNACC), il a indiqué que l’agriculture, la pêche, la foresterie, le transport, la gestion des déchets, l’énergie, l’efficacité énergétique, l’industrie, la santé, les ressources en eau, la biodiversité et la gestion des risques et catastrophes sont des activités de maîtrise des impacts du changement climatique essentielles pour arriver à un développement durable.
‘’Eu égard à la nature complexe et multisectorielle des changements climatiques, le COMNACC devient une instance décisionnelle pour la mise en cohérence des interventions et d’appui à la définition de la politique climat’’, a dit M. Guissé qui note cependant que la multiplicité des plateformes sur les changements climatiques entraine
une désarticulation dans les actions menées et un manque de coordination centrale et ceux-ci constituent, entre autres, les défis auxquels le COMNACC fait face et pour lesquels des solutions concrètes devront être proposées à l'approche du rendez-vous planétaire sur les réponses à apporter aux changements climatiques.
‘’Les changements climatiques étant au cœur de l’agenda international, le diagnostic du COMNACC arrive à point nommé et relèvera tous les facteurs bloquants et les facteurs favorisants de son fonctionnement.
Sans nul doute, cette étude permettra de renforcer son leadership pour consolider les progrès accomplis dans la lutte contre le dérèglement climatique au Sénégal’’, espère le secrétaire général du ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable.
Ainsi, vingt-quatre ans après, M. Guissé est d’avis que la lutte contre les effets des changements climatiques trouvera un nouveau souffle avec un leadership dans la coordination des actions pour conserver les acquis, corriger les erreurs et éviter les errements.
Pour le président du COMNACC, Ousmane Fall Sarr, ‘’les changements climatiques constituent un enjeu majeur à cause de ses impacts sur nos économies et nos conditions de vie. En atteste la rareté des ressources en eau et la baisse de la pluviométrie impactant l’agriculture, la sécurité alimentaire, les problèmes d’émigration, entre autres, les fortes canicules qui ont un lien direct avec la recrudescence de nouvelles maladies dans certains pays’’, a fait noter M. Fall qui soutient qu’il s’agit d’un phénomène qui touche ‘’pratiquement’’ tous les domaines et tous les secteurs.
Du fait du caractère transversal de ce phénomène que constituent les changements climatiques et dans le souci de proposer des réponses appropriées, le président du COMNACC estime qu’il est important voire
indispensable d’avoir ‘’un cadre institutionnel performant’’ pouvant faciliter les interactions entre les secteurs et les acteurs pour une meilleure prise de décision. ‘’Heureusement qu’au Sénégal, on a la chance de s’en rendre compte, ce qui a abouti à la mise en place du COMNACC en 1994’’ ; a-t-il fait valoir.
Serigne Makhtar Fall
‘’Eu égard à la nature complexe et multisectorielle des changements climatiques, le COMNACC devient une instance décisionnelle pour la mise en cohérence des interventions et d’appui à la définition de la politique climat’’, a dit M. Guissé qui note cependant que la multiplicité des plateformes sur les changements climatiques entraine
une désarticulation dans les actions menées et un manque de coordination centrale et ceux-ci constituent, entre autres, les défis auxquels le COMNACC fait face et pour lesquels des solutions concrètes devront être proposées à l'approche du rendez-vous planétaire sur les réponses à apporter aux changements climatiques.
‘’Les changements climatiques étant au cœur de l’agenda international, le diagnostic du COMNACC arrive à point nommé et relèvera tous les facteurs bloquants et les facteurs favorisants de son fonctionnement.
Sans nul doute, cette étude permettra de renforcer son leadership pour consolider les progrès accomplis dans la lutte contre le dérèglement climatique au Sénégal’’, espère le secrétaire général du ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable.
Ainsi, vingt-quatre ans après, M. Guissé est d’avis que la lutte contre les effets des changements climatiques trouvera un nouveau souffle avec un leadership dans la coordination des actions pour conserver les acquis, corriger les erreurs et éviter les errements.
Pour le président du COMNACC, Ousmane Fall Sarr, ‘’les changements climatiques constituent un enjeu majeur à cause de ses impacts sur nos économies et nos conditions de vie. En atteste la rareté des ressources en eau et la baisse de la pluviométrie impactant l’agriculture, la sécurité alimentaire, les problèmes d’émigration, entre autres, les fortes canicules qui ont un lien direct avec la recrudescence de nouvelles maladies dans certains pays’’, a fait noter M. Fall qui soutient qu’il s’agit d’un phénomène qui touche ‘’pratiquement’’ tous les domaines et tous les secteurs.
Du fait du caractère transversal de ce phénomène que constituent les changements climatiques et dans le souci de proposer des réponses appropriées, le président du COMNACC estime qu’il est important voire
indispensable d’avoir ‘’un cadre institutionnel performant’’ pouvant faciliter les interactions entre les secteurs et les acteurs pour une meilleure prise de décision. ‘’Heureusement qu’au Sénégal, on a la chance de s’en rendre compte, ce qui a abouti à la mise en place du COMNACC en 1994’’ ; a-t-il fait valoir.
Serigne Makhtar Fall