‘’C’est la première fois que la CSRP, à travers son Secrétariat permanent, soumet au comité de coordination un projet de plan stratégique. Mais, le défi, ce n’est pas seulement d’élaborer un plan stratégique, il faut aussi et surtout trouver des ressources, notamment financières, pour une mise en œuvre efficace dudit plan’’, a lancé le bissau-guinéen, Malal Sané, secrétaire permanent de la CSRP.
Il s’exprimait mardi à Saly-Portudal au démarrage d’un atelier sous-régional de présentation des résultats externes du Plan stratégique 2011-2015 et des activités de la CSRP pour 2016-2017 et de concertation avec ses Etats-membres pour recueillir leurs avis sur les orientations du nouveau plan à élaborer pour la période 2018-2022.
Selon lui, la formulation de ce nouveau plan devra s’appuyer sur les réalisations et les enseignements tirés de la mise en œuvre du précédent plan et introduire de nouvelles approches permettant à la CSRP d’atteindre son niveau d’institution de référence et d’innovation en matière de gestion durable des ressources halieutiques.
‘’Après les évaluations internes et externes faites du Plan stratégique 2011-2015, on s’est rendu compte qu’il y avait des difficultés liées à la disponibilité de ressources financières pour faire face aux défis contenus dans ledit plan’’, a signalé Malal Sané.
‘’Nous voulons que le secteur de la pêche continue de contribuer davantage à l’économie des Etats-membres de la CSRP. Malheureusement, la pêche INN (pêche illicite, non déclarée et non réglementée’’ continue de constituer un défi majeur dans la sous-région ouest-africaine. C’est pourquoi, nous avons récemment signé un protocole d’accord avec l’Union européenne qui, avec une enveloppe de 3,600 millions d’euros, va nous aider à faire face à cette pêche INN’’, s’est réjoui M. Sané.
Représentant le ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, Babacar Banda Diop, son conseiller technique numéro 1 a estimé que la mise en place d’un système de suivi, contrôle et surveillance (SCS) pourrait contribuer ‘’considérablement’’ à lutter contre la pêche INN au niveau des pays-membres de la CSRP.
La pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) constitue un fléau pour la sous-région ouest-africaine, en ce sens qu’elle impacte ‘’très négativement’’ sur la gestion durable des ressources halieutiques, a relevé le conseiller technique numéro 1 du ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, Babacar Banda Diop.
‘’La pêche INN est un fléau pour notre sous-région, parce qu’impactant très négativement sur la gestion, la viabilité et l’utilisation durable des ressources halieutiques’’, a notamment dit M. Diop par ailleurs.
‘’L’exploitation durable des ressources halieutiques repose sur plusieurs objectifs parmi lesquels la promotion de l’innovation dans la gestion des ressources halieutiques, la création d’un système de collecte des informations et des connaissances mais aussi le renforcement de la capacité de coopération entre la CSRP et les organisations actives dans la gestion durable des ressources halieutiques’’, a indiqué Babacar Banda Diop.
Pour lui, l’évaluation du Plan stratégique 2011-2022 va donner les orientations et les résultats sur lesquels vont s’adosser les différents membres du comité de coordination de la CSRP pour mettre en œuvre le Plan stratégique 2018-2022 qui, à l’en croire, cherche à mettre la CSRP parmi les organismes qui ont pour principe de gérer et d’innover dans la gestion durable des ressources halieutiques de la sous-région.
‘’La stratégique majeure dans la lutte contre la pêche INN repose sur un système de suivi, contrôle et surveillance qui permet de réunir, de coopérer avec tous les pays de la sous-région ouest-africaine pour surveiller les ressources maritimes et pour faire reculer la pêche INN’’, a dit le conseiller technique du ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime.
Pour sa part, le secrétaire permanent de la CSRP, le bissau-guinéen, Malal Sané, a fait remarquer que ‘’la pêche INN est un défi mondial qui interpelle tout le monde et qui nécessite l’implication de tous les Etats mais aussi les pêcheurs et tous les autres acteurs de la pêche’’, a-t-il déclaré.
Serigne Makhtar Fall
Il s’exprimait mardi à Saly-Portudal au démarrage d’un atelier sous-régional de présentation des résultats externes du Plan stratégique 2011-2015 et des activités de la CSRP pour 2016-2017 et de concertation avec ses Etats-membres pour recueillir leurs avis sur les orientations du nouveau plan à élaborer pour la période 2018-2022.
Selon lui, la formulation de ce nouveau plan devra s’appuyer sur les réalisations et les enseignements tirés de la mise en œuvre du précédent plan et introduire de nouvelles approches permettant à la CSRP d’atteindre son niveau d’institution de référence et d’innovation en matière de gestion durable des ressources halieutiques.
‘’Après les évaluations internes et externes faites du Plan stratégique 2011-2015, on s’est rendu compte qu’il y avait des difficultés liées à la disponibilité de ressources financières pour faire face aux défis contenus dans ledit plan’’, a signalé Malal Sané.
‘’Nous voulons que le secteur de la pêche continue de contribuer davantage à l’économie des Etats-membres de la CSRP. Malheureusement, la pêche INN (pêche illicite, non déclarée et non réglementée’’ continue de constituer un défi majeur dans la sous-région ouest-africaine. C’est pourquoi, nous avons récemment signé un protocole d’accord avec l’Union européenne qui, avec une enveloppe de 3,600 millions d’euros, va nous aider à faire face à cette pêche INN’’, s’est réjoui M. Sané.
Représentant le ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, Babacar Banda Diop, son conseiller technique numéro 1 a estimé que la mise en place d’un système de suivi, contrôle et surveillance (SCS) pourrait contribuer ‘’considérablement’’ à lutter contre la pêche INN au niveau des pays-membres de la CSRP.
La pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) constitue un fléau pour la sous-région ouest-africaine, en ce sens qu’elle impacte ‘’très négativement’’ sur la gestion durable des ressources halieutiques, a relevé le conseiller technique numéro 1 du ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, Babacar Banda Diop.
‘’La pêche INN est un fléau pour notre sous-région, parce qu’impactant très négativement sur la gestion, la viabilité et l’utilisation durable des ressources halieutiques’’, a notamment dit M. Diop par ailleurs.
‘’L’exploitation durable des ressources halieutiques repose sur plusieurs objectifs parmi lesquels la promotion de l’innovation dans la gestion des ressources halieutiques, la création d’un système de collecte des informations et des connaissances mais aussi le renforcement de la capacité de coopération entre la CSRP et les organisations actives dans la gestion durable des ressources halieutiques’’, a indiqué Babacar Banda Diop.
Pour lui, l’évaluation du Plan stratégique 2011-2022 va donner les orientations et les résultats sur lesquels vont s’adosser les différents membres du comité de coordination de la CSRP pour mettre en œuvre le Plan stratégique 2018-2022 qui, à l’en croire, cherche à mettre la CSRP parmi les organismes qui ont pour principe de gérer et d’innover dans la gestion durable des ressources halieutiques de la sous-région.
‘’La stratégique majeure dans la lutte contre la pêche INN repose sur un système de suivi, contrôle et surveillance qui permet de réunir, de coopérer avec tous les pays de la sous-région ouest-africaine pour surveiller les ressources maritimes et pour faire reculer la pêche INN’’, a dit le conseiller technique du ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime.
Pour sa part, le secrétaire permanent de la CSRP, le bissau-guinéen, Malal Sané, a fait remarquer que ‘’la pêche INN est un défi mondial qui interpelle tout le monde et qui nécessite l’implication de tous les Etats mais aussi les pêcheurs et tous les autres acteurs de la pêche’’, a-t-il déclaré.
Serigne Makhtar Fall