Les cours du brut connaissent une forte chute depuis septembre et ont clos le 12 novembre à Londres à leur plus bas niveau depuis quatre ans, à 80,38 dollars le baril. (Crédits : reuters.com)
Voilà devrait ajouter de l'eau au moulin de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) réticente à ajuster la production de pétrole :
"Même s'il est encore trop tôt pour identifier les facteurs à l'œuvre sur l'offre et la demande, la récente chute significative des prix du pétrole pourrait, toutes choses égales par ailleurs, doper la croissance mondiale si elle se prolonge", écrit mercredi 12 novembre le Fonds monétaire international.
"Les faibles prix du pétrole auront des impacts différents à travers le globe, allégeant la pression sur les importateurs net de pétrole (...) mais posant de nouveaux risques pour les pays producteurs", précise la note de surveillance du FMI publiée en vue du sommet des chefs d'État du G20 samedi 15 et dimanche 16 novembre à Brisbane (Australie).
Pour le reste, le Fonds réitère son diagnostic sur la reprise mondiale "inégale", notamment en zone euro, et sur les risques liés au conflit en Ukraine ou à l'instabilité financière.
Latribune.fr
"Même s'il est encore trop tôt pour identifier les facteurs à l'œuvre sur l'offre et la demande, la récente chute significative des prix du pétrole pourrait, toutes choses égales par ailleurs, doper la croissance mondiale si elle se prolonge", écrit mercredi 12 novembre le Fonds monétaire international.
Des risques pour les pays producteurs
Les cours du brut connaissent en effet une forte chute depuis septembre et ont clos mercredi à Londres à leur plus bas niveau depuis quatre ans, à 80,38 dollars le baril, passant même ce jeudi sous la barre des 80 dollars, à 78,82 dollars ce jeudi 13 novembre à 14h. Le pétrole new-yorkais a suivi la même tendance finissant la séance au plus bas depuis trois ans."Les faibles prix du pétrole auront des impacts différents à travers le globe, allégeant la pression sur les importateurs net de pétrole (...) mais posant de nouveaux risques pour les pays producteurs", précise la note de surveillance du FMI publiée en vue du sommet des chefs d'État du G20 samedi 15 et dimanche 16 novembre à Brisbane (Australie).
Pour le reste, le Fonds réitère son diagnostic sur la reprise mondiale "inégale", notamment en zone euro, et sur les risques liés au conflit en Ukraine ou à l'instabilité financière.
Latribune.fr