Présidant le démarrage officiel d’un atelier sous-régional, elle a souligné que la stratégie de ce plan repose sur le développement accéléré de l’aviculture à travers des axes tels que l’’amélioration de la productivité et de la compétitivité de l’aviculture’’, ‘’la création d’un environnement favorable au développement de la filière avicole’’, etc.
‘’Dans un souci de préservation de la santé animale et de la santé publique au niveau des échanges mondiaux d’animaux et de produits animaux, le Code sanitaire pour les animaux terrestres de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) dispose des conditions particulières applicables aux importations de poussins d’un jour [...]'', a-t-elle rappelé.
Ces poussins ''doivent être accompagnés d’un certificat vétérinaire international attestant qu’ils sont indemnes de maladies aviaires’’, a-t-elle pécisé.
Elle a relevé que ''la plupart des volailles transportées par voie aérienne, dans des caisses de contention ou conteneurs, sont des poussins nouvellement éclos''.
''Ces animaux sont très vulnérables aux brusques changements de température’’, a-t-elle fait remarquer.
Elle a indiqué que les dispositions de l’OIE trouvent leur sens dans l’espace UEMOA, où la complexité des itinéraires et les aléas du transport aérien exposent les poussins à des mortalités, des baisses de viabilité et de performance pendant leur élevage. Ce qui, à son avis, constitue ‘’une des principales contraintes’’ aux échanges de poussins d’un jour entre différents pays.
Le président de l’Union des organisations de la filière avicole des pays de l’Afrique de l’Ouest (UFOA), Jean-Marie Aka, a fait observer que les économies de la sous-région ouest-africaine font face aux effets d’un environnement de plus en plus ouvert.
‘’Il en résulte que nos filières d’activités dont fait partie l’aviculture, se doivent de concentrer leurs efforts sur la recherche de solutions, non plus au niveau national, mais à l’échelle de la sous-région, afin d’assurer leur survie’’, a-t-il conseillé.
Il a appelé à effectuer un diagnostic sans complaisance de la situation, afin d’apporter ‘’des propositions réalistes et pertinentes’’ pour un transport sans risque des pays excédentaires vers les pays déficitaires.
APS
‘’Dans un souci de préservation de la santé animale et de la santé publique au niveau des échanges mondiaux d’animaux et de produits animaux, le Code sanitaire pour les animaux terrestres de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) dispose des conditions particulières applicables aux importations de poussins d’un jour [...]'', a-t-elle rappelé.
Ces poussins ''doivent être accompagnés d’un certificat vétérinaire international attestant qu’ils sont indemnes de maladies aviaires’’, a-t-elle pécisé.
Elle a relevé que ''la plupart des volailles transportées par voie aérienne, dans des caisses de contention ou conteneurs, sont des poussins nouvellement éclos''.
''Ces animaux sont très vulnérables aux brusques changements de température’’, a-t-elle fait remarquer.
Elle a indiqué que les dispositions de l’OIE trouvent leur sens dans l’espace UEMOA, où la complexité des itinéraires et les aléas du transport aérien exposent les poussins à des mortalités, des baisses de viabilité et de performance pendant leur élevage. Ce qui, à son avis, constitue ‘’une des principales contraintes’’ aux échanges de poussins d’un jour entre différents pays.
Le président de l’Union des organisations de la filière avicole des pays de l’Afrique de l’Ouest (UFOA), Jean-Marie Aka, a fait observer que les économies de la sous-région ouest-africaine font face aux effets d’un environnement de plus en plus ouvert.
‘’Il en résulte que nos filières d’activités dont fait partie l’aviculture, se doivent de concentrer leurs efforts sur la recherche de solutions, non plus au niveau national, mais à l’échelle de la sous-région, afin d’assurer leur survie’’, a-t-il conseillé.
Il a appelé à effectuer un diagnostic sans complaisance de la situation, afin d’apporter ‘’des propositions réalistes et pertinentes’’ pour un transport sans risque des pays excédentaires vers les pays déficitaires.
APS