‘’Ce raffermissement serait imputable notamment à la vigueur des sous-secteurs des bâtiments et travaux publics (BTP), des matériaux de construction, du raffinage de pétrole et de l’énergie conjugué au regain d’activité attendu dans les activités extractives, la fabrication de produits chimiques et les industries alimentaires’’ explique-t-on dans le rapport.
Auparavant, le document souligne que ‘’Le taux de croissance réel du PIB attendu à 4, 5% contre 3, 5% en 2013 reflète la vigueur des services mais également la relance du secteur secondaire. Le regain de dynamisme qui s’amorce traduit le renforcement de la demande intérieur favorisé par la consolidation des investissements publics dans un contexte de démarrage de la mise en œuvre du PSE’’.
‘’L’économie sénégalaise devrait bénéficier, en 2015 des apports positifs provenant de la stratégie de mobilisation des recettes budgétaires et des dépenses, axée sur les orientations du PSE .Des investissements dans l’énergie et les infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires’’, annonce la même source.
Ndeye Maguette Kébé
Auparavant, le document souligne que ‘’Le taux de croissance réel du PIB attendu à 4, 5% contre 3, 5% en 2013 reflète la vigueur des services mais également la relance du secteur secondaire. Le regain de dynamisme qui s’amorce traduit le renforcement de la demande intérieur favorisé par la consolidation des investissements publics dans un contexte de démarrage de la mise en œuvre du PSE’’.
‘’L’économie sénégalaise devrait bénéficier, en 2015 des apports positifs provenant de la stratégie de mobilisation des recettes budgétaires et des dépenses, axée sur les orientations du PSE .Des investissements dans l’énergie et les infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires’’, annonce la même source.
Ndeye Maguette Kébé