Ce ratio a été estimé à 29,1 % contre 28,1% pour le Togo, 26,9% pour le Burkina Faso, 25,7% pour le Niger, 24,4% pour le Mali, 24,1% pour la Côte d’Ivoire, 21,8% pour le Benin et 16,9% pour la Guinée Bissau.
« Ces résultats vont à l’encontre de ceux de l’année 2000, durant laquelle le Sénégal avait atteint l’un des niveaux de dépenses les plus bas », soutiennent les auteurs du rapport. Ils ajoutent que les autorités sénégalaises reconnaissent désormais qu’il faudra rationnaliser les dépenses courantes et réorienter les ressources vers la promotion des investissements productifs. La Banque mondiale salue l’effort concerté qui se déploie en vue de contribuer au financement du Plan Sénégal émergent (PSE).
Oumar Nourou