‘’Pour faire face à cette situation, le défi principal à relever constitue la vulgarisation, la communication mais également la sensibilisation de la monétique’’, a préconisé M. Ahouantchede.
Il se prononçait à la cérémonie d’ouverture du quatrième salon monétique régional organisé le Groupement interbancaire monétique de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (GIM-UEMOA).
Durant deux jours, des experts du métier vont échanger sur des thèmes axés sur le prépayé, le paiement électronique, la sécurité, la lutte contre la fraude et la cyber criminalité.
‘’Ce salon entre ainsi dans ce cadre qui va nous permettre de communiquer en toute transparence afin que les populations puissent maîtriser le sujet .La compréhension des avantages de ce dernier par les citoyens leurs permettra de mieux tirer profit de la carte GIM’’, a indiqué, le directeur général de GIM-UEMOA.
‘’Nous avons également de nouveaux défis qui sont d’abord le prépayé. Le taux de de bancarisation est faible ce qui constitue un problème. A ce titre, une décision a été prise pour pré-bancariser les populations, les amener à utiliser les moyens de paiement, à se financiariser ‘’, a-t-il expliqué .
‘’Nous avons très tôt compris que la monétique est un levier de pré - bancarisation et de bancarisation donc le premier défi constitue les prépayés.
Le deuxième défi est le paiement qui est important parce que, notre mission consiste à inciter chaque citoyen à posséder une carte bancaire pour effectuer ces transactions en toute tranquillité, soit par des cartes GIM ou autres ‘’, a poursuit Blaise Ahouantchede.
Selon lui , ‘’Après dix ans d’exercice de la GIM-UEMOA, on peut tirer un bilan positif car à chaque fois que nous organisons ce salon qui est à sa quatrième édition, une meilleure connaissance des solutions, des produits de la taxe GIM sont notés et de plus en plus les citoyens de la zone UEMOA comprennent les avantages’’.
‘’En 2013 nous avions traité plus de 217 milliards le volume de flux alors qu’il y’a 5 ans, on n’était à 10 millions de flux ce qui montre que les usages sont bonnes et de ce point de vue le combat va continuer pour atteindre les 1000 milliards dans les prochaines années’’ a-t-il fait savoir.
Ndeye Maguette Kébé
Il se prononçait à la cérémonie d’ouverture du quatrième salon monétique régional organisé le Groupement interbancaire monétique de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (GIM-UEMOA).
Durant deux jours, des experts du métier vont échanger sur des thèmes axés sur le prépayé, le paiement électronique, la sécurité, la lutte contre la fraude et la cyber criminalité.
‘’Ce salon entre ainsi dans ce cadre qui va nous permettre de communiquer en toute transparence afin que les populations puissent maîtriser le sujet .La compréhension des avantages de ce dernier par les citoyens leurs permettra de mieux tirer profit de la carte GIM’’, a indiqué, le directeur général de GIM-UEMOA.
‘’Nous avons également de nouveaux défis qui sont d’abord le prépayé. Le taux de de bancarisation est faible ce qui constitue un problème. A ce titre, une décision a été prise pour pré-bancariser les populations, les amener à utiliser les moyens de paiement, à se financiariser ‘’, a-t-il expliqué .
‘’Nous avons très tôt compris que la monétique est un levier de pré - bancarisation et de bancarisation donc le premier défi constitue les prépayés.
Le deuxième défi est le paiement qui est important parce que, notre mission consiste à inciter chaque citoyen à posséder une carte bancaire pour effectuer ces transactions en toute tranquillité, soit par des cartes GIM ou autres ‘’, a poursuit Blaise Ahouantchede.
Selon lui , ‘’Après dix ans d’exercice de la GIM-UEMOA, on peut tirer un bilan positif car à chaque fois que nous organisons ce salon qui est à sa quatrième édition, une meilleure connaissance des solutions, des produits de la taxe GIM sont notés et de plus en plus les citoyens de la zone UEMOA comprennent les avantages’’.
‘’En 2013 nous avions traité plus de 217 milliards le volume de flux alors qu’il y’a 5 ans, on n’était à 10 millions de flux ce qui montre que les usages sont bonnes et de ce point de vue le combat va continuer pour atteindre les 1000 milliards dans les prochaines années’’ a-t-il fait savoir.
Ndeye Maguette Kébé