Les établissements de crédit russes, américains et allemands sont les principales cibles des cybercriminels, mais les attaques vont aussi crescendo en Afrique, en Europe centrale et orientale, au Proche-Orient et en Asie. Selon le rapport, une fois détournés, les fonds se dirigent dans la plupart des cas vers des comptes localisés aux Etats-Unis et en Chine.
La motivation des hakers semble être le gain financier plutôt que l'espionnage, ajoute-t-on de même sources, indiquant que «les auteurs de la fraude sont clairement très familiers des logiciels et réseaux de services financiers».
Les cybercriminels utilisent notamment un programme baptisé «Carbanak» visant les employés des banques afin de les piéger à l'aide de pièces jointes par une méthode de «phishing» (hameçonnage). Ils parviennent ainsi à accéder au réseau de ces cibles, et par conséquent aux opérations de transferts d'argent, aux distributeurs de billets et comptes bancaires.
Ecofin
La motivation des hakers semble être le gain financier plutôt que l'espionnage, ajoute-t-on de même sources, indiquant que «les auteurs de la fraude sont clairement très familiers des logiciels et réseaux de services financiers».
Les cybercriminels utilisent notamment un programme baptisé «Carbanak» visant les employés des banques afin de les piéger à l'aide de pièces jointes par une méthode de «phishing» (hameçonnage). Ils parviennent ainsi à accéder au réseau de ces cibles, et par conséquent aux opérations de transferts d'argent, aux distributeurs de billets et comptes bancaires.
Ecofin