« Le Sénégal dispose d’énormes atouts en matière d’énergies renouvelables, avec un fort ensoleillement sur pratiquement tout le pays et un régime de vents satisfaisant sur la bande côtière nord » a ajouté le directeur de l’électricité.
« Cependant, leur exploitation reste à l’état embryonnaire, avec une puissance photovoltaïque installée de l’ordre de 4MZc et celle quasi nulle des installations éoliennes » a- t-il déploré.
Ibrahima Niane, directeur de l’électricité s’exprimait au non du ministre de l’Energie à la cérémonie de clôture d’un atelier sur l’étude de la loi sur les énergies renouvelables.
M. Niane note que « les importations de produits pétroliers pèsent lourdement dans la balance commerciale du pays soit 40, 4% des recettes d’exportation en 2010 ».
« C’est face à ce constat et en vue de réduire la dépendance du pays vis-à-vis de l’extérieur et ainsi alléger la facture pétrolière mais également dans le but d’assurer la promotion des énergies renouvelables que des objectifs stratégiques ont été fixés à savoir, l’opérationnalisation de l’agence dédiée aux énergies renouvelables, l’opérationnalisation du dispositif relatif aux incitations, l’identification de la planification des investissements à réaliser et l’étude pour la mise en place du tarif de rachat » indique Ibrahima Niane.
« A cet effet, l’agence nationale pour les énergies renouvelables a d’ambitieux programmes a savoir l’électrification par voie solaire photovoltaïque, la mise en place d’infrastructures scolaires et sanitaires dans 1000 villages isolés et localités périurbaines est prévue, de même que la généralisation dans tout le pays d’un programme d’installation de 35 000 lampadaires solaires » renseigne M.Niane.
« Par ailleurs, en vue d’atteindre l’objectif de 20% de la puissance installée, des contrats d’achat d’énergie ont été signés par la SENELEC avec des promoteurs privés pour une capacité en solaire et éolienne de 150 MW installer d’ici 2017 » a-t-il souligné.
Ndeye Maguette Kebé
« Cependant, leur exploitation reste à l’état embryonnaire, avec une puissance photovoltaïque installée de l’ordre de 4MZc et celle quasi nulle des installations éoliennes » a- t-il déploré.
Ibrahima Niane, directeur de l’électricité s’exprimait au non du ministre de l’Energie à la cérémonie de clôture d’un atelier sur l’étude de la loi sur les énergies renouvelables.
M. Niane note que « les importations de produits pétroliers pèsent lourdement dans la balance commerciale du pays soit 40, 4% des recettes d’exportation en 2010 ».
« C’est face à ce constat et en vue de réduire la dépendance du pays vis-à-vis de l’extérieur et ainsi alléger la facture pétrolière mais également dans le but d’assurer la promotion des énergies renouvelables que des objectifs stratégiques ont été fixés à savoir, l’opérationnalisation de l’agence dédiée aux énergies renouvelables, l’opérationnalisation du dispositif relatif aux incitations, l’identification de la planification des investissements à réaliser et l’étude pour la mise en place du tarif de rachat » indique Ibrahima Niane.
« A cet effet, l’agence nationale pour les énergies renouvelables a d’ambitieux programmes a savoir l’électrification par voie solaire photovoltaïque, la mise en place d’infrastructures scolaires et sanitaires dans 1000 villages isolés et localités périurbaines est prévue, de même que la généralisation dans tout le pays d’un programme d’installation de 35 000 lampadaires solaires » renseigne M.Niane.
« Par ailleurs, en vue d’atteindre l’objectif de 20% de la puissance installée, des contrats d’achat d’énergie ont été signés par la SENELEC avec des promoteurs privés pour une capacité en solaire et éolienne de 150 MW installer d’ici 2017 » a-t-il souligné.
Ndeye Maguette Kebé