chroniques
Selon lui , c’est pour cette raison que « le gouvernement du Sénégal a entrepris l’élaboration d’une politique nationale de gestion des Zones humides en s’appuyant sur la direction des parcs nationaux (DPN) qui a en charge la mise en œuvre de la convention de RAMSAR ».
Il ajoute que « l’objectif de cette option politique est de promouvoir la gestion intégrée des zones humides et de leurs ressources et d’améliorer les conditions de vie des populations ».
Il s’exprimait au nom du ministre de l’environnement et du développement durable lors de la cérémonie d’ouverture marquant la célébration de la journée mondiale des Zones Humides axée sur le thème « Les zones humaines et l’agriculture : cultivons le partenariat ».
Selon lui , « cette journée est une occasion idéale de mettre en lumière l’importance des zones humides pour l’agriculture, notamment parce que de nombreuses petites exploitations agricoles et familiales dépendent des sols , de l’eau ,des plantes et des animaux que l’on trouve dans zones humides pour assurer la sécurité alimentaire et améliorer les moyens d’existence ».
Aujourd’hui, au niveau mondial environ 2,5 milliards de personnes, en milieu rural, sont directement tributaires, de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche ou de la chasse ou d’un ensemble de ces activités pour leurs moyens d’existence renseigne le directeur de cabinet du ministre de l’environnement.
Il poursuit dans ses propos que « Les zones humides subissent, depuis quelques décennies, des pressions liées aux activités humaines et climatiques avec des usages nouveaux perturbant les caractéristiques, la structure et le fonctionnement de ces écosystèmes fragiles ».
M. BA, estime également que « les aires protégées sont la pierre angulaire des efforts déployés pour conserver les espèces et les écosystèmes car elles jouent aussi un rôle important en maintenant les moyens de subsistance des populations locales et en contribuant au bien être économique et social. Elles participent à l’atténuation des effets des changements climatiques et au maintien des services fournis par les écosystèmes ».
Les déplacements saisonniers des oiseaux et des ressources pélagiques constituent un véritable trait d’union entre les secteurs de développement notamment la gestion foncière, l’agriculture, la pêche, l’aquaculture, l’élevage, la gestion de la biodiversité et des zones humides.
Pour rappel, chaque année, est célébrée la journée mondiale des zones humides (JMZH) pour commémorer la signature de la convention sur les zones humides, du 2 février 1971, dans la ville iranienne de RAMSAR, au bord de la mer caspienne. Ainsi, depuis 1997, les Organisations Non Gouvernementales (ONG) et la société civile profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public sur les valeurs et avantages des zones humaines.
Ndeye Maguette Kebé
Il ajoute que « l’objectif de cette option politique est de promouvoir la gestion intégrée des zones humides et de leurs ressources et d’améliorer les conditions de vie des populations ».
Il s’exprimait au nom du ministre de l’environnement et du développement durable lors de la cérémonie d’ouverture marquant la célébration de la journée mondiale des Zones Humides axée sur le thème « Les zones humaines et l’agriculture : cultivons le partenariat ».
Selon lui , « cette journée est une occasion idéale de mettre en lumière l’importance des zones humides pour l’agriculture, notamment parce que de nombreuses petites exploitations agricoles et familiales dépendent des sols , de l’eau ,des plantes et des animaux que l’on trouve dans zones humides pour assurer la sécurité alimentaire et améliorer les moyens d’existence ».
Aujourd’hui, au niveau mondial environ 2,5 milliards de personnes, en milieu rural, sont directement tributaires, de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche ou de la chasse ou d’un ensemble de ces activités pour leurs moyens d’existence renseigne le directeur de cabinet du ministre de l’environnement.
Il poursuit dans ses propos que « Les zones humides subissent, depuis quelques décennies, des pressions liées aux activités humaines et climatiques avec des usages nouveaux perturbant les caractéristiques, la structure et le fonctionnement de ces écosystèmes fragiles ».
M. BA, estime également que « les aires protégées sont la pierre angulaire des efforts déployés pour conserver les espèces et les écosystèmes car elles jouent aussi un rôle important en maintenant les moyens de subsistance des populations locales et en contribuant au bien être économique et social. Elles participent à l’atténuation des effets des changements climatiques et au maintien des services fournis par les écosystèmes ».
Les déplacements saisonniers des oiseaux et des ressources pélagiques constituent un véritable trait d’union entre les secteurs de développement notamment la gestion foncière, l’agriculture, la pêche, l’aquaculture, l’élevage, la gestion de la biodiversité et des zones humides.
Pour rappel, chaque année, est célébrée la journée mondiale des zones humides (JMZH) pour commémorer la signature de la convention sur les zones humides, du 2 février 1971, dans la ville iranienne de RAMSAR, au bord de la mer caspienne. Ainsi, depuis 1997, les Organisations Non Gouvernementales (ONG) et la société civile profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public sur les valeurs et avantages des zones humaines.
Ndeye Maguette Kebé
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