Selon le général de brigade Damehame Yark, avant les années 2000, les experts et analystes en sécurité intérieure, attiraient l’attention des dirigeants et des acteurs en développement sur le fait que la criminalité s’internationalisait de plus en plus.
«Comme on peut le constater aujourd’hui, l’insécurité et la criminalité ne s’internationalisent plus. Elles sont internationales. Et pour y faire face, les Etats doivent, plus que jamais et mieux que les criminels, sauter le verrou de la souveraineté et faire tomber les murs de nos frontières afin de permettre à nos services d’enquête et de renseignement d’asseoir des mécanismes de collaboration et de coopération sécuritaire plus dynamiques et plus fluides », a indiqué M. Yark.
Il a relevé que la rencontre de ce jour s’inscrit dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de l’Accord-cadre de coopération en matière de sécurité et de renseignement que nous avons signé le 26 avril 2018 à Ouagadougou. Il a rappelé que l’insécurité est aujourd’hui inscrite au rang le plus élevé de nos préoccupations au sein de notre Union, en particulier à l’agenda des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Le général Yark soutient que les attaques ou les menaces d’actes terroristes sont devenues récurrentes et si nous n’y prenons garde, elles pourraient, au fil du temps, être banalisées, y compris par les dirigeants que nous sommes. L’extrémisme violent prend également des proportions grandissantes et menace la paix et la cohésion sociale au sein de nos communautés et même des cellules familiales. Il n’a pas manqué de saluer les résultats obtenus dans la mise en œuvre de l’Accord-cadre de coopération en matière de sécurité et de renseignement, ainsi que les dispositions prise pour consolider les acquis.
Adou FAYE
«Comme on peut le constater aujourd’hui, l’insécurité et la criminalité ne s’internationalisent plus. Elles sont internationales. Et pour y faire face, les Etats doivent, plus que jamais et mieux que les criminels, sauter le verrou de la souveraineté et faire tomber les murs de nos frontières afin de permettre à nos services d’enquête et de renseignement d’asseoir des mécanismes de collaboration et de coopération sécuritaire plus dynamiques et plus fluides », a indiqué M. Yark.
Il a relevé que la rencontre de ce jour s’inscrit dans le cadre du suivi de la mise en œuvre de l’Accord-cadre de coopération en matière de sécurité et de renseignement que nous avons signé le 26 avril 2018 à Ouagadougou. Il a rappelé que l’insécurité est aujourd’hui inscrite au rang le plus élevé de nos préoccupations au sein de notre Union, en particulier à l’agenda des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Le général Yark soutient que les attaques ou les menaces d’actes terroristes sont devenues récurrentes et si nous n’y prenons garde, elles pourraient, au fil du temps, être banalisées, y compris par les dirigeants que nous sommes. L’extrémisme violent prend également des proportions grandissantes et menace la paix et la cohésion sociale au sein de nos communautés et même des cellules familiales. Il n’a pas manqué de saluer les résultats obtenus dans la mise en œuvre de l’Accord-cadre de coopération en matière de sécurité et de renseignement, ainsi que les dispositions prise pour consolider les acquis.
Adou FAYE