Ces dernières années, CGF a créé douze fonds communs de placement en plus de lancer des plans d’épargnes entreprises et des clubs d’investissements. C’est ainsi que depuis le démarrage de ses activités de CGF, en 1998, « le marché financier a permis aux Etats et aux entreprises africaines de lever plus de 6 000 milliards de francs CFA pour le financement de leurs investissements », a déclaré la directrice générale de CGF Bourse, Mme Odile Kantoussan, lors de la cérémonie de lancement du Fonds commun de placement (FCP), le premier fonds de placement halal de la zone de l’Union économique et monétaire de l’ouest-africain (Uemoa).Les institutions publiques et parapubliques ne sont pas les seules à se réjouir. Les souscripteurs en bourse se sont frotté également les mains. En 2016, pas moins de 700 milliards ont été distribués en dividendes dans les huit pays de l’Union.
Sur les raisons de la création du fonds commun de placement (FCP), dont le lancement a eu lieu ce 12 avril 2017, Mme Kantoussan explique :
« Le FCP Al Baraka, qui respecte les principes de la finance islamique, est créé dans le but de répondre à une demande récurrente de certains épargnants. »
Selon la directrice générale de CGF Bourse le FCP Al Baraka, « l’initiative de ce produit innovant, structuré en respect des règles de la finance islamique, confirme le fait que l’industrie financière africaine est plus que jamais impliquée dans la recherche de solutions adaptées à nos économies. »
A titre d’exemple, CGF a enregistré en 2016 la cotation de cinq obligations islamiques dénommées « Sukuks ». Deux ont été émises par le Sénégal, deux par la Côte d’Ivoire et une ligne émise par le Togo pour un montant global à l’émission de 766 milliards de francs CFA. Preuve s’il en est encore que la finance islamique compte parmi les secteurs économiques les plus pourvoyeurs en ressources.
Amadou BA
Sur les raisons de la création du fonds commun de placement (FCP), dont le lancement a eu lieu ce 12 avril 2017, Mme Kantoussan explique :
« Le FCP Al Baraka, qui respecte les principes de la finance islamique, est créé dans le but de répondre à une demande récurrente de certains épargnants. »
Selon la directrice générale de CGF Bourse le FCP Al Baraka, « l’initiative de ce produit innovant, structuré en respect des règles de la finance islamique, confirme le fait que l’industrie financière africaine est plus que jamais impliquée dans la recherche de solutions adaptées à nos économies. »
A titre d’exemple, CGF a enregistré en 2016 la cotation de cinq obligations islamiques dénommées « Sukuks ». Deux ont été émises par le Sénégal, deux par la Côte d’Ivoire et une ligne émise par le Togo pour un montant global à l’émission de 766 milliards de francs CFA. Preuve s’il en est encore que la finance islamique compte parmi les secteurs économiques les plus pourvoyeurs en ressources.
Amadou BA