Ces pertes post-récolte, qu'il juge "énormes'', sont liés à des équipements pas très adaptés et à des techniques de battage, de vannage, de stockage, de transport non adaptés, associées à des conditions climatiques humides et physiques non favorables à la production, a-t-il expliqué.
M. Sy s’exprimait lors d’un atelier de lancement du Projet d’adaptation et de diffusion à grande échelle d’une technologie de battage manuel du mil pour la réduction des pertes post-récolte de la production en mil dans le bassin arachidier (Fatick, Kaolack, Thiès, Diourbel, Kaffrine).
Financé par le Fonds national de recherche agricole et agroalimentaire (FNRAA), à travers le Programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest, ‘’il vise à utiliser à grande échelle [une] suite de machines dans les cinq régions du bassin arachidier’’, a-t-il précisé.
‘’La diffusion de cette technologie de battage manuel du mil pour la réduction des pertes post-récolte permettra aussi aux producteurs de gagner en temps de travail et d’améliorer la qualité des grains’’, a-t-il poursuivi.
Il a indiqué que dans le cadre de ce projet, l’objectif est d’arriver à une réduction des pertes post-récolte du mil de 25% et 40 %, jusqu’à 5%, avec une efficacité au battage de 95%. ‘’La série de machines qui s’opèrent manuellement est testée dans quatre sites qui nous ont permis d’avoir ces rendements de 95%’’, a-t-il soutenu.
Les pertes post-récolte, en quantité comme en quantité, empêchent les producteurs agricoles de tirer pleinement profit de leur travail, tout en demeurant un obstacle à la sécurité alimentaire des exploitants, indique un document remis à la presse.
Pour apporter une réponse à ce problème, l’ONG américaine Compatible Technology International (CTI) a mis en place cette série de machines destinées à rendre plus moderne, plus rentable et plus efficace le battage manuel du mil.
L’Agence nationale de conseil agricole et Rural (ANCAR) travaille en partenariat avec CTI, les institutions de micro-finances et les organisations de producteurs dans le cadre de la vulgarisation du Projet d’adaptation et de diffusion de la technologie de battage manuel du mil.
APS
M. Sy s’exprimait lors d’un atelier de lancement du Projet d’adaptation et de diffusion à grande échelle d’une technologie de battage manuel du mil pour la réduction des pertes post-récolte de la production en mil dans le bassin arachidier (Fatick, Kaolack, Thiès, Diourbel, Kaffrine).
Financé par le Fonds national de recherche agricole et agroalimentaire (FNRAA), à travers le Programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest, ‘’il vise à utiliser à grande échelle [une] suite de machines dans les cinq régions du bassin arachidier’’, a-t-il précisé.
‘’La diffusion de cette technologie de battage manuel du mil pour la réduction des pertes post-récolte permettra aussi aux producteurs de gagner en temps de travail et d’améliorer la qualité des grains’’, a-t-il poursuivi.
Il a indiqué que dans le cadre de ce projet, l’objectif est d’arriver à une réduction des pertes post-récolte du mil de 25% et 40 %, jusqu’à 5%, avec une efficacité au battage de 95%. ‘’La série de machines qui s’opèrent manuellement est testée dans quatre sites qui nous ont permis d’avoir ces rendements de 95%’’, a-t-il soutenu.
Les pertes post-récolte, en quantité comme en quantité, empêchent les producteurs agricoles de tirer pleinement profit de leur travail, tout en demeurant un obstacle à la sécurité alimentaire des exploitants, indique un document remis à la presse.
Pour apporter une réponse à ce problème, l’ONG américaine Compatible Technology International (CTI) a mis en place cette série de machines destinées à rendre plus moderne, plus rentable et plus efficace le battage manuel du mil.
L’Agence nationale de conseil agricole et Rural (ANCAR) travaille en partenariat avec CTI, les institutions de micro-finances et les organisations de producteurs dans le cadre de la vulgarisation du Projet d’adaptation et de diffusion de la technologie de battage manuel du mil.
APS