Pour le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba, compte tenu de l’importance de ce ministère ainsi que les grands défis à relever, son budget peut, à certains égards, se révéler insuffisant et ce, nonobstant les moyens substantiels à lui affecter depuis quelques années. En effet, rappellera-t-il, le budget de ce département est passé de 102, 3 milliards de FCFA en 2012 à 346 711 832 357 de FCFfa en 2024, soit plus qu’un triplement de ses dotations.
Pour Moussa Baldé, ministre de l’Enseignement supérieur, depuis son arrivée à la magistrature suprême en 2012, le Président de la République, considérant l’enseignement supérieur comme un puissant levier du développement économique, social et culturel de notre pays, a soutenu ce secteur par des investissements importants, renforçant substantiellement l’accès et la qualité de l’enseignement supérieur.
En si peu de temps, dira-t-il, son département a enregistré d’importants progrès ayant permis de porter notre système d’Enseignement supérieur, de Recherche et d’Innovation à un niveau de performance sans précédent. A ce titre, il a cité, notamment, l’ouverture des Classes préparatoires aux grandes écoles (Cpge), de l’Université Amadou Makhtar Mbow (Uam), de l’Université du Sine-Saloum El Hadj Ibrahima Niass et de cinq (5) Isep fonctionnels et bientôt d’un sixième dont l’ouverture est prévue incessamment à Mbacké. Dans le même sillage, des performances sont notées dans le domaine de la gouvernance, de la recherche et de l’innovation, avec l’installation des Conseils d’administration dans les universités et la mise en place des Conseils académiques et autres organes internes, mais surtout la nomination des Recteurs suite à un appel de candidatures et l’entrée du Sénégal dans l’ère du spatial.
Adou Faye
Pour Moussa Baldé, ministre de l’Enseignement supérieur, depuis son arrivée à la magistrature suprême en 2012, le Président de la République, considérant l’enseignement supérieur comme un puissant levier du développement économique, social et culturel de notre pays, a soutenu ce secteur par des investissements importants, renforçant substantiellement l’accès et la qualité de l’enseignement supérieur.
En si peu de temps, dira-t-il, son département a enregistré d’importants progrès ayant permis de porter notre système d’Enseignement supérieur, de Recherche et d’Innovation à un niveau de performance sans précédent. A ce titre, il a cité, notamment, l’ouverture des Classes préparatoires aux grandes écoles (Cpge), de l’Université Amadou Makhtar Mbow (Uam), de l’Université du Sine-Saloum El Hadj Ibrahima Niass et de cinq (5) Isep fonctionnels et bientôt d’un sixième dont l’ouverture est prévue incessamment à Mbacké. Dans le même sillage, des performances sont notées dans le domaine de la gouvernance, de la recherche et de l’innovation, avec l’installation des Conseils d’administration dans les universités et la mise en place des Conseils académiques et autres organes internes, mais surtout la nomination des Recteurs suite à un appel de candidatures et l’entrée du Sénégal dans l’ère du spatial.
Adou Faye