Quel est l’intérêt pour la Fondation Sococim Industries de sponsoriser un projet de création d’une entreprise par une femme dans les technologies de l’Information et de la Communication ?
Ce projet correspond aux objectifs de la Fondation Sococim. Elle a été créée, il y a deux ans pour accompagner des porteurs de projets économiques, les soutenir, veiller à ce que leur projet d’entreprise soit pérenne et durable. Ce projet du concours d’entreprises numériques féminin (CENFEM), nous a séduits, parce que le partenaire a démontré une certaine crédibilité. Le projet consistait à soutenir la création d’une entreprise par les femmes dans le secteur du numérique. Il fallait s’assurer aussi que les personnes qui ont concouru, fournissent le maximum d’informations sur leur engagement, sur le fait qu’elles se sont renseignées sur les marchés, les données économiques entre autres, de manière à nous rassurer sur la crédibilité du projet. Il y a aussi que les projets, bénéficieront d’accompagnement pendant un an, ce n’est pas juste qu’on décerne le prix à une lauréate. On s’assure que le projet qui a été présenté, est effectivement mis en place, que la lauréate démarre ses activités, qu’elle rende compte régulièrement des avancées de son projet.
Dans le cadre de CENFEM 2013, la Fondation Sococim va parrainer le projet Riz 2arc de Mariétou Sall, concrètement qu’est-ce-que vous allez faire ?
Nous avons reçu un certain nombre de dossiers du site Cenfem.org. Ensuite, sur ces dossiers, on en a sélectionné 16. On a reçu en interview les différentes promotrices. Au finish, on a eu trois lauréates dans la catégorie création d’entreprises et trois autres dans la catégorie extension d’une entreprise avec la création d’un nouveau service. Maintenant, comme il y a trois sponsors dans le domaine création d’entreprise, il y a une certaine répartition des lauréates selon les sponsors. Il faut dire que Fondation Sococim n’a pas choisi une lauréate toute seule, il y a eu un dispatching du jury.
Maintenant, est-ce que vous pouvez revenir sur les actions de la Fondation Sococim Industries depuis sa création et vos projets dans les années à venir ?
Il faut dire qu’on a commencé avec une action pour le bien de tout le peuple sénégalais, avec la réhabilitation du Musée Théodore Monod de l’Ifan. Par la suite, nous nous sommes concentrés sur notre cœur d’activité, qui est le soutien à l’entreprenariat économique. Nous avons commencé avec un projet à Bargny avec l’Association pour le développement de Médinatoul Mounawara qui s’investit dans des activités commerciales. Cette Association a bénéficié d’un premier financement en 2012 et elles ont géré avec tellement de rigueur, que nous avons accepté de les accompagner dans une extension de leurs activités en 2013 récemment. Ensuite, nous avons apporté un soutien à l’entreprise textile Aïssa Dione qui utilise des matières premières locales avec un savoir-faire traditionnel, pour une reprise de l’activité productive de manière à qu’elle puisse continuer à générer des recettes. On soutient également une Association de femmes qui fabrique du savon de manière artisanale, qui avait besoin techniquement d’améliorer l’outil de production et acheter plus de matières premières.
Propos recueillis par EL Hadji Ndiaye
Ce projet correspond aux objectifs de la Fondation Sococim. Elle a été créée, il y a deux ans pour accompagner des porteurs de projets économiques, les soutenir, veiller à ce que leur projet d’entreprise soit pérenne et durable. Ce projet du concours d’entreprises numériques féminin (CENFEM), nous a séduits, parce que le partenaire a démontré une certaine crédibilité. Le projet consistait à soutenir la création d’une entreprise par les femmes dans le secteur du numérique. Il fallait s’assurer aussi que les personnes qui ont concouru, fournissent le maximum d’informations sur leur engagement, sur le fait qu’elles se sont renseignées sur les marchés, les données économiques entre autres, de manière à nous rassurer sur la crédibilité du projet. Il y a aussi que les projets, bénéficieront d’accompagnement pendant un an, ce n’est pas juste qu’on décerne le prix à une lauréate. On s’assure que le projet qui a été présenté, est effectivement mis en place, que la lauréate démarre ses activités, qu’elle rende compte régulièrement des avancées de son projet.
Dans le cadre de CENFEM 2013, la Fondation Sococim va parrainer le projet Riz 2arc de Mariétou Sall, concrètement qu’est-ce-que vous allez faire ?
Nous avons reçu un certain nombre de dossiers du site Cenfem.org. Ensuite, sur ces dossiers, on en a sélectionné 16. On a reçu en interview les différentes promotrices. Au finish, on a eu trois lauréates dans la catégorie création d’entreprises et trois autres dans la catégorie extension d’une entreprise avec la création d’un nouveau service. Maintenant, comme il y a trois sponsors dans le domaine création d’entreprise, il y a une certaine répartition des lauréates selon les sponsors. Il faut dire que Fondation Sococim n’a pas choisi une lauréate toute seule, il y a eu un dispatching du jury.
Maintenant, est-ce que vous pouvez revenir sur les actions de la Fondation Sococim Industries depuis sa création et vos projets dans les années à venir ?
Il faut dire qu’on a commencé avec une action pour le bien de tout le peuple sénégalais, avec la réhabilitation du Musée Théodore Monod de l’Ifan. Par la suite, nous nous sommes concentrés sur notre cœur d’activité, qui est le soutien à l’entreprenariat économique. Nous avons commencé avec un projet à Bargny avec l’Association pour le développement de Médinatoul Mounawara qui s’investit dans des activités commerciales. Cette Association a bénéficié d’un premier financement en 2012 et elles ont géré avec tellement de rigueur, que nous avons accepté de les accompagner dans une extension de leurs activités en 2013 récemment. Ensuite, nous avons apporté un soutien à l’entreprise textile Aïssa Dione qui utilise des matières premières locales avec un savoir-faire traditionnel, pour une reprise de l’activité productive de manière à qu’elle puisse continuer à générer des recettes. On soutient également une Association de femmes qui fabrique du savon de manière artisanale, qui avait besoin techniquement d’améliorer l’outil de production et acheter plus de matières premières.
Propos recueillis par EL Hadji Ndiaye