
D'après cette étude, ces enfants sont privés des exigences minimales dans plusieurs domaines cruciaux, dont l'éducation de base, le logement décent, les aliments nutritifs, les soins de santé de qualité, l'eau potable, l'assainissement et l'accès à l'information.
«La pauvreté infantile représente beaucoup plus que le revenu familial, il s'agit de l'accès à une éducation de qualité, à des soins de santé, à une maison et à de l'eau potable. Lorsque les enfants sont privés des choses élémentaires, ils risquent d'être piégés dans un cercle vicieux de pauvreté», a déclaré Geert Cappelaere, Directeur régional de l'UNICEF pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (MENA), lors d'une conférence régionale sur la pauvreté chez les enfants, à Rabat, au Maroc.
Bien que des progrès importants aient été réalisés dans la plupart des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord pour réduire la pauvreté, le nombre d'enfants vivant dans la pauvreté continue d'être élevé. Les pays touchés par les conflits voient une régression rapide des gains réalisés au cours des dernières décennies.
L'étude note que les pays de la région ne recueillent pas systématiquement des données sur la pauvreté, ce qui pèse sur l'efficacité des mesures pour lutter contre cette pauvreté chez les enfants.
Parmi les principales choses à retenir de l'étude, il faut noter surtout, le manque d'éducation est considéré comme l'un des facteurs clés de l'inégalité et de la pauvreté pour les enfants. Les enfants qui vivent dans des ménages dirigés par un membre de la famille sans éducation sont deux fois plus susceptibles de vivre dans la pauvreté. Un quart des enfants âgés de 5 à 17 ans ne sont pas inscrits à l'école ou ont accumulé deux ans de retard dans leur éducation.
Pathé TOURE
«La pauvreté infantile représente beaucoup plus que le revenu familial, il s'agit de l'accès à une éducation de qualité, à des soins de santé, à une maison et à de l'eau potable. Lorsque les enfants sont privés des choses élémentaires, ils risquent d'être piégés dans un cercle vicieux de pauvreté», a déclaré Geert Cappelaere, Directeur régional de l'UNICEF pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (MENA), lors d'une conférence régionale sur la pauvreté chez les enfants, à Rabat, au Maroc.
Bien que des progrès importants aient été réalisés dans la plupart des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord pour réduire la pauvreté, le nombre d'enfants vivant dans la pauvreté continue d'être élevé. Les pays touchés par les conflits voient une régression rapide des gains réalisés au cours des dernières décennies.
L'étude note que les pays de la région ne recueillent pas systématiquement des données sur la pauvreté, ce qui pèse sur l'efficacité des mesures pour lutter contre cette pauvreté chez les enfants.
Parmi les principales choses à retenir de l'étude, il faut noter surtout, le manque d'éducation est considéré comme l'un des facteurs clés de l'inégalité et de la pauvreté pour les enfants. Les enfants qui vivent dans des ménages dirigés par un membre de la famille sans éducation sont deux fois plus susceptibles de vivre dans la pauvreté. Un quart des enfants âgés de 5 à 17 ans ne sont pas inscrits à l'école ou ont accumulé deux ans de retard dans leur éducation.
Pathé TOURE