En effet, pour ce Pr d’université, qui s’exprimait devant un parterre de plus de 70 journalistes, il y a beaucoup de controverses autour de la réduction de la nocivité. Selon lui, cela tient au fait qu’on n’a pas suffisamment mis l’accent sur la prise en charge de la réduction de la nocivité au regard des politiques d’intervention.
C’est pourquoi estime-t-il, si on a une dépendance à la cigarette, ce n’est pas du tout suffisant de dire faut arrêter simplement de fumer. Au contraire, il faut aussi envisager une intervention visant à minimiser la nocivité du tabac qui pourrait aboutir à une cessation.
En mettant l’accent sur la réduction des méfaits du tabac, il est absolument nécessaire, selon le Professeur Valodia, de proposer des alternatives aux risques que pose le tabac.
Le problème est qu’aujourd’hui, la réduction de la nocivité est exclue du cadre de la législation, raison pour laquelle on note un taux élevé d’échec des interventions en faveur de la réduction des dommages du tabac.
Or le public doit avoir accès à des produits moins nocifs et il est impératif d’encourager la réduction en créant des espaces dédiés pour la sensibilisation du public.
En effet, on devrait arriver à faire percevoir au public, qu’aussi bien les cigarettes conventionnelles que les autres options ou alternatives produisent des risques, et lui permettre de choisir les produits les moins nocifs.
Pour le Pr Valodia la réduction des méfaits du tabac doit être érigée en stratégie d’intervention tant du point de vue des politiques que du point de vue des interventions. Pour conclure, il estime qu’il serait heureux que l’OMS embrasse pleinement la notion de réduction de la nocivité en vue d’atteindre l’objectif d’un monde et d’une « Afrique sans fumée ».
Ismaila BA
C’est pourquoi estime-t-il, si on a une dépendance à la cigarette, ce n’est pas du tout suffisant de dire faut arrêter simplement de fumer. Au contraire, il faut aussi envisager une intervention visant à minimiser la nocivité du tabac qui pourrait aboutir à une cessation.
En mettant l’accent sur la réduction des méfaits du tabac, il est absolument nécessaire, selon le Professeur Valodia, de proposer des alternatives aux risques que pose le tabac.
Le problème est qu’aujourd’hui, la réduction de la nocivité est exclue du cadre de la législation, raison pour laquelle on note un taux élevé d’échec des interventions en faveur de la réduction des dommages du tabac.
Or le public doit avoir accès à des produits moins nocifs et il est impératif d’encourager la réduction en créant des espaces dédiés pour la sensibilisation du public.
En effet, on devrait arriver à faire percevoir au public, qu’aussi bien les cigarettes conventionnelles que les autres options ou alternatives produisent des risques, et lui permettre de choisir les produits les moins nocifs.
Pour le Pr Valodia la réduction des méfaits du tabac doit être érigée en stratégie d’intervention tant du point de vue des politiques que du point de vue des interventions. Pour conclure, il estime qu’il serait heureux que l’OMS embrasse pleinement la notion de réduction de la nocivité en vue d’atteindre l’objectif d’un monde et d’une « Afrique sans fumée ».
Ismaila BA