Parmi les principaux facteurs de notation, GCR cite <<la très forte granularité du portefeuille titrisé et son excellente résilience aux tests de stress et de sur-stress notamment en égard au degré très robuste de rehaussement de crédit par un surdimensionnement du portefeuille de 35% à la date d’émission et 42% à la date de revue, à quoi s’ajoute un portefeuille de réserve de 25%.>>
L’équipe de notation a relève aussi la qualité moyenne des actifs sous-jacents à l’opération de titrisation qui est un facteur neutre y compris la prévisibilité des flux de trésorerie extraits du portefeuille sous-jacent. De plus, GCR signale le caractère amortissable des obligations et du portefeuille de créances sous-jacent qui anesthésie le risque de valeur résiduelle. Dans la même mouvance, l’agence considère l’existence d’un fonds de réserve, appelé à croître à mesure que les excédents de marges (« excess spreads » ou différentiels de taux entrants et sortants) et qui s’accumulent au sein de la structure comme un facteur positif de notation.
La saine gestion opérationnelle de la structure de titrisation et la bonne qualité de la documentation juridique sont des facteurs neutres de notation, selon toujours GCR. A cela, s’ajoute la qualité de crédit d’Orabank Togo (le Cédant), mesurée par une estimation de crédit, et sa probabilité de survie à 5 ans qui en dérive et qui ne constituent pas une contrainte pour la notation.
<<En revanche, souligné l’équipe de GCR, la concentration géographique du portefeuille dans la seule économie du Togo constitue un facteur négatif de notation. >>
De même, l’absence d’identification explicite et à priori d’une entité alternative de recouvrement (« back-up servicer ») est un facteur négatif de notation, compensé par le degré très élevé d’excédent de fonds propres économiques.
Selon GCR, une détérioration de la notation des obligations séniors émises par le FCTC ORABANK 7% 2021-2026 serait la conséquence : i) d’une crise économique, politique ou sanitaire soudaine et de grande ampleur au Togo, c’est-à-dire d’une détérioration manifeste du risque-pays togolais ; ii) d’une détérioration sévère, au-delà de nos tests de stress et de sur-stress, du portefeuille de créances sous-jacentes ; ou iii) de la matérialisation des risques opérationnels et/ou juridiques rendant le recouvrement des créances plus malaisé.
Au total, GCR estime que la probabilité d’occurrence des scénarios défavorables est équivalente à celle des scénarios favorables à moyen terme, justifiant sa perspective stable.
Oumar Nourou
L’équipe de notation a relève aussi la qualité moyenne des actifs sous-jacents à l’opération de titrisation qui est un facteur neutre y compris la prévisibilité des flux de trésorerie extraits du portefeuille sous-jacent. De plus, GCR signale le caractère amortissable des obligations et du portefeuille de créances sous-jacent qui anesthésie le risque de valeur résiduelle. Dans la même mouvance, l’agence considère l’existence d’un fonds de réserve, appelé à croître à mesure que les excédents de marges (« excess spreads » ou différentiels de taux entrants et sortants) et qui s’accumulent au sein de la structure comme un facteur positif de notation.
La saine gestion opérationnelle de la structure de titrisation et la bonne qualité de la documentation juridique sont des facteurs neutres de notation, selon toujours GCR. A cela, s’ajoute la qualité de crédit d’Orabank Togo (le Cédant), mesurée par une estimation de crédit, et sa probabilité de survie à 5 ans qui en dérive et qui ne constituent pas une contrainte pour la notation.
<<En revanche, souligné l’équipe de GCR, la concentration géographique du portefeuille dans la seule économie du Togo constitue un facteur négatif de notation. >>
De même, l’absence d’identification explicite et à priori d’une entité alternative de recouvrement (« back-up servicer ») est un facteur négatif de notation, compensé par le degré très élevé d’excédent de fonds propres économiques.
Selon GCR, une détérioration de la notation des obligations séniors émises par le FCTC ORABANK 7% 2021-2026 serait la conséquence : i) d’une crise économique, politique ou sanitaire soudaine et de grande ampleur au Togo, c’est-à-dire d’une détérioration manifeste du risque-pays togolais ; ii) d’une détérioration sévère, au-delà de nos tests de stress et de sur-stress, du portefeuille de créances sous-jacentes ; ou iii) de la matérialisation des risques opérationnels et/ou juridiques rendant le recouvrement des créances plus malaisé.
Au total, GCR estime que la probabilité d’occurrence des scénarios défavorables est équivalente à celle des scénarios favorables à moyen terme, justifiant sa perspective stable.
Oumar Nourou