Justifiant la notation de long terme et la perspective qui lui attachée, les responsables de l’agence avancent la qualité de crédit qui est élevée. Ils estiment aussi que les facteurs de protection sont bons. « Cependant, soulignent-ils, les facteurs de risques sont plus variables et plus importants en période de pression économique ».
Sur le court terme, Bloomfield note que la certitude de remboursement en temps opportun est bonne, ajoutant que les facteurs de liquidité et les éléments essentiels des sociétés sont sains. « Quoique les besoins de financement en cours puissent accroître les exigences totales de financement, l’accès aux marchés des capitaux est bon », mentionnent encore les responsables de Bloomfield. Quant aux facteurs de risque, ils sont qualifiés de minimes.
Un certain nombre de facteurs positifs sous-tend la notation. Sont ainsi notamment brandis « un grand chantier procédural permettant de renforcer la gouvernance et la gestion des risques, une bonne évolution de la marge d’intérêt globale portée aussi bien par l’activité de crédit que par l’activité de placement, une forte dynamique de crédit et une stratégie de collecte de ressources clientèles qui porte ses fruits ».
A contrario, les responsables de Bloomfield ont listé quelques facteurs de fragilité de la notation. Il s’agit de la forte évolution du coût du risque (celui-ci est passé de 215 millions de FCFA en 2018 à 2,244 milliards de FCFA), de la crise sanitaire contrariant la dynamique de l’activité économique et de la conformité aux normes prudentielles à rétablir, notamment en matière de division des risques.
Au 31 décembre 2019, la BOA Sénégal a réalisé un bénéfice après impôts de 9,115 milliards de FCFA contre 8,509 milliards de FCFA au 31 décembre 2018 (+7,12%). Son total du bilan a, de son côté progressé de 18,87% à 534,863 milliards de FCFA contre 449,936 milliards de FCFA en 2018. Pour sa part, le produit net bancaire s’est accru de 20,65% à 30,102 milliards de FCFA contre 24,949 milliards de FCFA au 31 décembre 2018.
RP2211/financialafrik.com
Sur le court terme, Bloomfield note que la certitude de remboursement en temps opportun est bonne, ajoutant que les facteurs de liquidité et les éléments essentiels des sociétés sont sains. « Quoique les besoins de financement en cours puissent accroître les exigences totales de financement, l’accès aux marchés des capitaux est bon », mentionnent encore les responsables de Bloomfield. Quant aux facteurs de risque, ils sont qualifiés de minimes.
Un certain nombre de facteurs positifs sous-tend la notation. Sont ainsi notamment brandis « un grand chantier procédural permettant de renforcer la gouvernance et la gestion des risques, une bonne évolution de la marge d’intérêt globale portée aussi bien par l’activité de crédit que par l’activité de placement, une forte dynamique de crédit et une stratégie de collecte de ressources clientèles qui porte ses fruits ».
A contrario, les responsables de Bloomfield ont listé quelques facteurs de fragilité de la notation. Il s’agit de la forte évolution du coût du risque (celui-ci est passé de 215 millions de FCFA en 2018 à 2,244 milliards de FCFA), de la crise sanitaire contrariant la dynamique de l’activité économique et de la conformité aux normes prudentielles à rétablir, notamment en matière de division des risques.
Au 31 décembre 2019, la BOA Sénégal a réalisé un bénéfice après impôts de 9,115 milliards de FCFA contre 8,509 milliards de FCFA au 31 décembre 2018 (+7,12%). Son total du bilan a, de son côté progressé de 18,87% à 534,863 milliards de FCFA contre 449,936 milliards de FCFA en 2018. Pour sa part, le produit net bancaire s’est accru de 20,65% à 30,102 milliards de FCFA contre 24,949 milliards de FCFA au 31 décembre 2018.
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