Selon M. Sall, il nous faut travailler pour faire vivre notre économie, tout en veillant sur notre santé. «Voilà ce qui fonde notre stratégie pour remettre notre pays sur la trajectoire de croissance forte d’avant Covid-19, afin de maintenir le cap sur l’émergence à l’horizon 2035.
C’est à cette fin que j’ai demandé au Gouvernement de préparer le Plan d’actions prioritaires ajusté et accéléré (PAP 2a) que nous examinons aujourd’hui pour validation, dans la même dynamique participative que nous avons adoptée dès le début de la crise », a déclaré le chef de l’Etat.
Il a souligné que le Pap 2a repose sur le constat suivant : la pandémie Covid-19 nous a révélé des vulnérabilités potentielles qui nous exposeraient à des pénuries en cas de rupture de fret ou de rétention de certains produits par les pays exportateurs pour satisfaire leurs propres besoins. Il en est ainsi de l’agriculture et de l’industrie pharmaceutique, entre autres.
«En conséquence, pour parer à de tels risques, nous voulons, à travers le Pap 2a, et sur la séquence 2019-2023, donner une sur-priorité à la souveraineté alimentaire (agriculture, élevage et pêche), pharmaceutique et sanitaire, et booster en même temps l’industrialisation de l’économie, le numérique, le tourisme, le logement, en favorisant davantage l’équité territoriale et l’inclusion sociale. Parallèlement, les projets stratégiques des infrastructures et de l’énergie seront poursuivis », a expliqué Macky Sall.
Il a saisi cette occasion pour préciser que le PAP 2a ne se substitue pas au Plan Sénégal émergent, qui, dans sa Phase II, reste notre référentiel en matière de stratégie de développement économique et social.
«D’après nos projections, la mise en œuvre du PAP 2a nous permettra de retrouver une croissance du Pib de l’ordre de 5,2 % en 2021 ; 7,2% en 2022 et 13,7% en 2023 ; soit le premier taux de croissance du Sénégal à deux chiffres, avec l’exploitation de ressources gazières pétrolières », prévoit Macky Sall.
Sur la période 2019-2023, il affirme que le PAP 2a requiert un financement de 22,4 milliards d’euros dont le tiers est attendu du secteur privé. C’est pourquoi, il souhaite que le secteur privé national s’engage résolument à nos côtés pour atteindre cet objectif. J’y invite également le secteur privé étranger.
Adou FAYE
C’est à cette fin que j’ai demandé au Gouvernement de préparer le Plan d’actions prioritaires ajusté et accéléré (PAP 2a) que nous examinons aujourd’hui pour validation, dans la même dynamique participative que nous avons adoptée dès le début de la crise », a déclaré le chef de l’Etat.
Il a souligné que le Pap 2a repose sur le constat suivant : la pandémie Covid-19 nous a révélé des vulnérabilités potentielles qui nous exposeraient à des pénuries en cas de rupture de fret ou de rétention de certains produits par les pays exportateurs pour satisfaire leurs propres besoins. Il en est ainsi de l’agriculture et de l’industrie pharmaceutique, entre autres.
«En conséquence, pour parer à de tels risques, nous voulons, à travers le Pap 2a, et sur la séquence 2019-2023, donner une sur-priorité à la souveraineté alimentaire (agriculture, élevage et pêche), pharmaceutique et sanitaire, et booster en même temps l’industrialisation de l’économie, le numérique, le tourisme, le logement, en favorisant davantage l’équité territoriale et l’inclusion sociale. Parallèlement, les projets stratégiques des infrastructures et de l’énergie seront poursuivis », a expliqué Macky Sall.
Il a saisi cette occasion pour préciser que le PAP 2a ne se substitue pas au Plan Sénégal émergent, qui, dans sa Phase II, reste notre référentiel en matière de stratégie de développement économique et social.
«D’après nos projections, la mise en œuvre du PAP 2a nous permettra de retrouver une croissance du Pib de l’ordre de 5,2 % en 2021 ; 7,2% en 2022 et 13,7% en 2023 ; soit le premier taux de croissance du Sénégal à deux chiffres, avec l’exploitation de ressources gazières pétrolières », prévoit Macky Sall.
Sur la période 2019-2023, il affirme que le PAP 2a requiert un financement de 22,4 milliards d’euros dont le tiers est attendu du secteur privé. C’est pourquoi, il souhaite que le secteur privé national s’engage résolument à nos côtés pour atteindre cet objectif. J’y invite également le secteur privé étranger.
Adou FAYE