Selon le directeur régional de la BID, Sidi Mouhamed Ould Taleb, sa structure va mobiliser un financement de 50 milliards de FCFA, pour la mise en œuvre de programmes d’urgence et de gestion des risques liés aux inondations. Dans les détails, il indique que l’enveloppe financière étalée sur la période 2013-2014, va s’atteler au renforcement les capacités des institutions nationales chargées de la gestion et de la réduction des risques des catastrophes naturelles dans les pays membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI). « Nous avons deux projets importants dans le cadre du programme d'urgence pour la lutte contre les inondations », informe le directeur régional de la BID. Il explique que le premier projet est relatif à la restructuration urbaine de la ville de Dakar et le second projet concerne la réhabilitation de la station d’épuration de Cambérène.
Selon le Directeur régional de la BID, la dynamique de l’institution financière panislamique est d'accompagner l’Etat du Sénégal dans la mise en œuvre et la gestion des risques d'inondations. « Au niveau de notre banque, nous avons pris conscience qu'il y a nécessité de changer d'approche pour une action beaucoup plus dynamique sur la gestion des catastrophes naturelles comme les inondations », relève M. Taleb. Ce dernier, indique que dans le cadre de l’atelier de formation sur la gestion des inondations, il s’agira avec les experts qui viennent du Pakistan, de la Turquie de faire un partage d’expériences pour mieux gérer les risques et sensibiliser les acteurs. A ce propos, il se réjouie de la collaboration avec le Centre de recherches statistiques, économiques, sociales et de formation pour les pays islamiques (SESRIC) et la BID.
Pour sa part, le ministre de la Restructuration et de l’Aménagement des zones d’inondation, Khadim Diop rappelle que « les inondations constituent le type le plus répandu de catastrophes naturelles, mais également le type de catastrophe le plus destructeur pour les biens, les cultures et les infrastructures dans les pays membres de l’OCI ». Ainsi, le Sénégal confronté à ce phénomène d’inondation a subi près de 25 milliards de FCFA de pertes économiques, renseigne M. Diop. Il ajoute qu’aujourd’hui, le Sénégal est engagé avec détermination, dans une dynamique de résolution structurelle des problèmes liés aux inondations et pour se faire, l’Etat sénégalais entend se doter de tous les atouts nécessaires à l’atteinte des objectifs qu’il s’est fixé dans ce domaine.
Moustapha Dia
Selon le Directeur régional de la BID, la dynamique de l’institution financière panislamique est d'accompagner l’Etat du Sénégal dans la mise en œuvre et la gestion des risques d'inondations. « Au niveau de notre banque, nous avons pris conscience qu'il y a nécessité de changer d'approche pour une action beaucoup plus dynamique sur la gestion des catastrophes naturelles comme les inondations », relève M. Taleb. Ce dernier, indique que dans le cadre de l’atelier de formation sur la gestion des inondations, il s’agira avec les experts qui viennent du Pakistan, de la Turquie de faire un partage d’expériences pour mieux gérer les risques et sensibiliser les acteurs. A ce propos, il se réjouie de la collaboration avec le Centre de recherches statistiques, économiques, sociales et de formation pour les pays islamiques (SESRIC) et la BID.
Pour sa part, le ministre de la Restructuration et de l’Aménagement des zones d’inondation, Khadim Diop rappelle que « les inondations constituent le type le plus répandu de catastrophes naturelles, mais également le type de catastrophe le plus destructeur pour les biens, les cultures et les infrastructures dans les pays membres de l’OCI ». Ainsi, le Sénégal confronté à ce phénomène d’inondation a subi près de 25 milliards de FCFA de pertes économiques, renseigne M. Diop. Il ajoute qu’aujourd’hui, le Sénégal est engagé avec détermination, dans une dynamique de résolution structurelle des problèmes liés aux inondations et pour se faire, l’Etat sénégalais entend se doter de tous les atouts nécessaires à l’atteinte des objectifs qu’il s’est fixé dans ce domaine.
Moustapha Dia