Selon un communiqué de presse, le Programme de financement à l’appui des politiques de développement pour le commerce régional de l’énergie en Afrique de l’Ouest a pour objectif de lever les obstacles aux échanges d’électricité, avec à la clé des tarifs plus bas pour les consommateurs, une compétitivité accrue pour les entreprises et un approvisionnement plus résilient et fiable.
La même source souligne que les pays membres de la Cedeao collaborent depuis une dizaine d’années à la mise en place d’un marché de l’électricité totalement intégré, dans le cadre du système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain. Ils auront achevé, d’ici quelques années, les principales interconnexions qui permettront de relier leurs réseaux.
«Le programme approuvé aujourd’hui vient appuyer l’application d’un programme de réformes qui permettra aux pays concernés : Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria, Mali et Sierra Leone de mettre en œuvre des politiques qui faciliteront des échanges transfrontaliers d’électricité produite à partir de gaz naturel, d’énergie hydraulique et renouvelable, plus propre et à bas coût. Ces sources d’approvisionnement permettront de remplacer les petites centrales au fioul et les générateurs à diesel, plus coûteux, et d’améliorer l’efficacité des services d’électricité », précise-t-on.
« L’Afrique de l’Ouest possède un immense potentiel dans la production d’énergie propre et verte, dont les pays peuvent tirer parti, en s’unissant, pour fournir à leurs habitants une électricité meilleur marché et favoriser la création d’emplois, souligne Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. Il affirme que le système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain a posé un jalon essentiel en reliant les réseaux nationaux, et le temps est venu à présent de concrétiser tous les atouts du marché régional de l’électricité.
« Ce programme jouera un rôle fondamental pour la réalisation de notre objectif de marché régional de l’énergie, et je tiens à remercier la Banque mondiale pour son soutien », indique Jean-Claude Kassi Brou, président de la Commission de la Cedeao.
Adou FAYE
La même source souligne que les pays membres de la Cedeao collaborent depuis une dizaine d’années à la mise en place d’un marché de l’électricité totalement intégré, dans le cadre du système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain. Ils auront achevé, d’ici quelques années, les principales interconnexions qui permettront de relier leurs réseaux.
«Le programme approuvé aujourd’hui vient appuyer l’application d’un programme de réformes qui permettra aux pays concernés : Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria, Mali et Sierra Leone de mettre en œuvre des politiques qui faciliteront des échanges transfrontaliers d’électricité produite à partir de gaz naturel, d’énergie hydraulique et renouvelable, plus propre et à bas coût. Ces sources d’approvisionnement permettront de remplacer les petites centrales au fioul et les générateurs à diesel, plus coûteux, et d’améliorer l’efficacité des services d’électricité », précise-t-on.
« L’Afrique de l’Ouest possède un immense potentiel dans la production d’énergie propre et verte, dont les pays peuvent tirer parti, en s’unissant, pour fournir à leurs habitants une électricité meilleur marché et favoriser la création d’emplois, souligne Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. Il affirme que le système d’échanges d’énergie électrique ouest-africain a posé un jalon essentiel en reliant les réseaux nationaux, et le temps est venu à présent de concrétiser tous les atouts du marché régional de l’électricité.
« Ce programme jouera un rôle fondamental pour la réalisation de notre objectif de marché régional de l’énergie, et je tiens à remercier la Banque mondiale pour son soutien », indique Jean-Claude Kassi Brou, président de la Commission de la Cedeao.
Adou FAYE