Selon un communiqué, le rapport s’intitule « Gouvernance des ressources naturelles et mobilisation des revenus nationaux pour la transformation structurelle ». L’AGR-V examine les efforts menés pour améliorer la gouvernance des ressources naturelles abondantes de l’Afrique, en mettant l’accent sur le renforcement des institutions et des cadres de gouvernance des ressources naturelles ; et ce dans le but d’accroître la mobilisation
des revenus nationaux et d’engendrer la diversification économique et la transformation structurelle du continent. Le rapport aborde quatre grandes questions : l’incapacité des pays africains riches en ressources à transformer leurs économies ; la création d’institutions pour améliorer l’impact des ressources naturelles africaines sur le développement ; l’augmentation des revenus domestiques en Afrique et la planification du développement et les résultats de la politique africaine.
« Ces questions sont essentielles pour la transformation de l’Afrique. En particulier, le rapport estime que la mobilisation des recettes nationales doit être renforcée car elle peut être un outil puissant pour l’appropriation nationale des stratégies de développement et pour le renforcement de la participation des entreprises nationales aux chaînes de valeur régionales et mondiales et le renforcement de la capacité de l’État à fournir des biens et
services publics », déclare M. Ikome. La qualité des institutions, dit-il, est un facteur décisif pour déterminer si la richesse en ressources naturelles devient une bénédiction ou une malédiction pour le développement inclusif et transformationnel, la paix et la sécurité, une démocratie plus profonde et la protection de l’environnement.
Mariama Diallo
des revenus nationaux et d’engendrer la diversification économique et la transformation structurelle du continent. Le rapport aborde quatre grandes questions : l’incapacité des pays africains riches en ressources à transformer leurs économies ; la création d’institutions pour améliorer l’impact des ressources naturelles africaines sur le développement ; l’augmentation des revenus domestiques en Afrique et la planification du développement et les résultats de la politique africaine.
« Ces questions sont essentielles pour la transformation de l’Afrique. En particulier, le rapport estime que la mobilisation des recettes nationales doit être renforcée car elle peut être un outil puissant pour l’appropriation nationale des stratégies de développement et pour le renforcement de la participation des entreprises nationales aux chaînes de valeur régionales et mondiales et le renforcement de la capacité de l’État à fournir des biens et
services publics », déclare M. Ikome. La qualité des institutions, dit-il, est un facteur décisif pour déterminer si la richesse en ressources naturelles devient une bénédiction ou une malédiction pour le développement inclusif et transformationnel, la paix et la sécurité, une démocratie plus profonde et la protection de l’environnement.
Mariama Diallo