Il a indiqué que malgré les performances des régies financières, la mobilisation accrue des ressources fiscales reste un défi continu pour les besoins de financement du développement de notre pays. Il a rappelé que pour 2024, nous avons fait voter un budget de 7 000 milliards pour que l’Etat puisse prendre en charge les politiques publiques consignées sur la matrice des actions prioritaires du Pap3 du Pse mais aussi les projets inscrits dans le Programme d’investissements publics (Pip) 2024-2026.
«L’impôt est la ressource publique la plus viable pour financer le développement. Ainsi, il est assigné à la Dgid, un objectif de recettes de 2 776 milliards. Je ne doute point des capacités de la Dgid à relever le défi. Cela inclut nécessairement la poursuite des stratégies d’élargissement de l’assiette », a déclaré le ministre des Finances.
Ainsi, en soutien au Programme Yaatal, a ajouté Mamadou Moustapha Ba, « le Directeur général Abdoulaye Diagne, dès son arrivée, a adopté, dans une démarche inclusive, le Programme de rénovation et d’extension des services des impôts et des domaines (Presid) dont les axes viennent d’être déclinés dans sa présentation. C’est dans cette optique que j’ai fait inscrire dans les crédits de la loi de finances 2024, un montant de 2,5 milliards destiné à la construction et à la réhabilitation des Centres de Services fiscaux. Il a relevé que cet ambitieux programme permettra, sans nul doute, de parachever la modernisation de l’Administration fiscale. Il n’a pas manqué d’exhorter davantage les directions générales de son département à renforcer leur collaboration, notamment grâce à une interconnexion des services et une meilleure coordination des missions de contrôle. »
Adou Faye
«L’impôt est la ressource publique la plus viable pour financer le développement. Ainsi, il est assigné à la Dgid, un objectif de recettes de 2 776 milliards. Je ne doute point des capacités de la Dgid à relever le défi. Cela inclut nécessairement la poursuite des stratégies d’élargissement de l’assiette », a déclaré le ministre des Finances.
Ainsi, en soutien au Programme Yaatal, a ajouté Mamadou Moustapha Ba, « le Directeur général Abdoulaye Diagne, dès son arrivée, a adopté, dans une démarche inclusive, le Programme de rénovation et d’extension des services des impôts et des domaines (Presid) dont les axes viennent d’être déclinés dans sa présentation. C’est dans cette optique que j’ai fait inscrire dans les crédits de la loi de finances 2024, un montant de 2,5 milliards destiné à la construction et à la réhabilitation des Centres de Services fiscaux. Il a relevé que cet ambitieux programme permettra, sans nul doute, de parachever la modernisation de l’Administration fiscale. Il n’a pas manqué d’exhorter davantage les directions générales de son département à renforcer leur collaboration, notamment grâce à une interconnexion des services et une meilleure coordination des missions de contrôle. »
Adou Faye