Abdoulaye Daouda Diallo déclare que dans le cadre de la revue de cette année, les évaluations ont porté sur cent seize (116) réformes et neuf (09) projets et programmes de l’Uemoa qui concernent directement plusieurs domaines sectoriels.
«L’évaluation a montré un taux moyen de mise en œuvre des réformes de 76,1% contre 73,9% en 2020 et un taux moyen d’exécution technique des projets et programmes de 81,0% contre 73,1% au titre de l’édition précédente. Il s’agit-là d’un résultat satisfaisant dont il faut se réjouir », a révélé le patron des Finances.
Il convient à son avis, par conséquent, de consolider cette dynamique positive en vue de réaliser la totalité des réformes et de boucler l’exécution des projets en cours, dans les délais impartis.
A cet effet, note M. Diallo, il nous revient d’examiner les recommandations formulées dans le document à l’endroit des autorités étatiques et de celles de l’Union pour parvenir à cette effectivité. Il a ajouté que la cérémonie de ce jour traduit toute l’attention que l’Etat du Sénégal accorde au volet intégration, dans le cadre de la
relance économique post Covid-19, à travers le Programme d’action prioritaire ajusté et accéléré (Pap 2A) du Pse initié par le Président de la République.
Selon le ministre des Finances, depuis sa création, l’Uemoa a initié et impulsé des réformes profondes et des politiques pertinentes. Elles sont ancrées aussi bien dans les domaines de la gouvernance économique, de l’union douanière, du marché commun que dans les secteurs clés de développement tels que les transports, l’énergie, l’aménagement du territoire et le développement humain.
«Ces réformes et politiques de l’Uemoa ont eu des impacts profonds dans la modernisation des appareils étatiques, en introduisant dans leur fonctionnement plus d’efficacité et de transparence. Je voudrais citer, juste à titre d’exemples, parmi tant d’autres, les réformes du cadre harmonisé des finances publiques, en particulier l’introduction de la budgétisation par programme dont les maîtres-mots sont : souci de résultat, exigence d’optimisation des coûts et évaluation de l’action publique », a confié Abdoulaye Daouda Diallo. Il a relevé que la revue annuelle est un exercice didactique qui met face à face les services techniques de la Commission de l’Uemoa et les structures nationales.
«Elle permet, d’une part, de relever les progrès enregistrés dans la mise en œuvre des chantiers communautaires et, d’autre part, d’identifier les contraintes rencontrées dans leur exécution, afin d’y apporter des solutions appropriées », a expliqué M. Diallo.
Adou Faye
«L’évaluation a montré un taux moyen de mise en œuvre des réformes de 76,1% contre 73,9% en 2020 et un taux moyen d’exécution technique des projets et programmes de 81,0% contre 73,1% au titre de l’édition précédente. Il s’agit-là d’un résultat satisfaisant dont il faut se réjouir », a révélé le patron des Finances.
Il convient à son avis, par conséquent, de consolider cette dynamique positive en vue de réaliser la totalité des réformes et de boucler l’exécution des projets en cours, dans les délais impartis.
A cet effet, note M. Diallo, il nous revient d’examiner les recommandations formulées dans le document à l’endroit des autorités étatiques et de celles de l’Union pour parvenir à cette effectivité. Il a ajouté que la cérémonie de ce jour traduit toute l’attention que l’Etat du Sénégal accorde au volet intégration, dans le cadre de la
relance économique post Covid-19, à travers le Programme d’action prioritaire ajusté et accéléré (Pap 2A) du Pse initié par le Président de la République.
Selon le ministre des Finances, depuis sa création, l’Uemoa a initié et impulsé des réformes profondes et des politiques pertinentes. Elles sont ancrées aussi bien dans les domaines de la gouvernance économique, de l’union douanière, du marché commun que dans les secteurs clés de développement tels que les transports, l’énergie, l’aménagement du territoire et le développement humain.
«Ces réformes et politiques de l’Uemoa ont eu des impacts profonds dans la modernisation des appareils étatiques, en introduisant dans leur fonctionnement plus d’efficacité et de transparence. Je voudrais citer, juste à titre d’exemples, parmi tant d’autres, les réformes du cadre harmonisé des finances publiques, en particulier l’introduction de la budgétisation par programme dont les maîtres-mots sont : souci de résultat, exigence d’optimisation des coûts et évaluation de l’action publique », a confié Abdoulaye Daouda Diallo. Il a relevé que la revue annuelle est un exercice didactique qui met face à face les services techniques de la Commission de l’Uemoa et les structures nationales.
«Elle permet, d’une part, de relever les progrès enregistrés dans la mise en œuvre des chantiers communautaires et, d’autre part, d’identifier les contraintes rencontrées dans leur exécution, afin d’y apporter des solutions appropriées », a expliqué M. Diallo.
Adou Faye